La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1684)
Datte: 02/02/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... je te comprends parfaitement, mais en attendant cette nuit est à nous et je compte bien en profiter.
- Oui Messire, cette nuit je suis toute à vous car c’est la Volonté du Maître.
Messire Léon savait très bien qu’après cette petite partie de jambes en l’air entre le Maître, lui-même et Marion où elle avec déjà dû lutter contre l’orgasme, qu’il voulait lui laisser un moment de répit. Il lui embrassa le visage, les yeux, le nez et déposa une trainée de bisous du lobe de son oreille, tout le long de sa mâchoire jusqu'à embrasser ses lèvres légèrement entre ouvertes. Marion fermait les yeux savourant ce moment de douceur. Un moment plus tard, Messire Léon la fit se mettre à quatre pattes et lui mit son collier et sa laisse et l’emmena à sa suite à l’extérieur à la fraicheur de la nuit. Arrivés auprès d’un gros arbre, il lui exigea :
- Pisses, la chienne, c’est le moment, pisses donc !
Marion se mit en position pour uriner comme une chienne animale. Puis, ils reprirent leur chemin et Messire Léon l’emmena dans une petite maison, comme il en avait beaucoup à cette époque dans le parc et les bois environnants. Il lui expliqua quand il était enfant que cette maisonnette appartenait à ses parents. Il poursuivit, lui disant que cette maison n’était plus habité mais toujours entretenue car très bientôt il allait peut-être y revenir.
- Bien sûr, elle a besoin de quelques travaux, mais rien de très conséquent.
Messire Léon la fit entrer, il avait prévu de l’emmener ici ...
... car il y avait un bon feu dans l’âtre et des chandelles neuves éclairant la pièce où ils se trouvaient. Messire Léon allongea Marion sur le dos et sur la longue et massive table de la cuisine et commença à la caresser sur tout son corps nue et offert. Ensuite, il décida de lui bander les yeux et d’attacher ses poignets au-dessus de sa tête et de les fixer à une épaisse barre de fer tendue sur toute la largeur de la pièce entre deux poutres. Puis il lui ordonna d’écarter largement les jambes au maximum mais pour le moment elle pouvait les laisser étendues.
Messire Léon lui caressa tout le haut du corps, les bras, le visage, le cou, le ventre et ses seins qu’il prit en main en se souvenant qu’à l’époque ils les trouvaient parfaitement proportionnés juste à la taille de ses mains et constata, en les massant, que cela n’avait pas changé. Les tétons très réceptifs de Marion ne tardèrent pas à réagir en durcissant et en pointant fièrement voir avec insolence vers le haut. C’est à ce moment-là que Messire Léon en pris un dans sa bouche le suçant, tétant, titillant de sa langue et mordillant entre ses dents tandis qu’il jouait avec l’autre, pinçant entres son pouce et son index, le tordant puis le caressait doucement avant de recommencer. Il joua ainsi un moment avant d’échanger ses mains et sa bouche. Marion se sentait si bien, certes inondée de plaisir, trempée à l’extrême mais contenant assez facilement, pour le moment, l’orgasme qui montait doucement en elle. La fatigue aidant, ...