Père pervers et fille superbe (1) - Histoires de Sexe

Père pervers et fille superbe (1)

... s’était réveillée et elle était descendue au salon, m’avait surpris la main à la bite, le regard fou d’un animal en rut, transpirant et bavant, poussant des grognements inhumains en regardant à la télé une sale pute en train de se faire gangbanger par des dizaines de mecs.

Elise était restée figée, choquée par le spectacle que je lui offrais. Le pire c’est que je ne l’avais pas entendue descendre et que je ne l’avais pas vue tout de suite. Au bout de quelques secondes, j’avais senti une présence dans mon dos, elle s’était approchée, et c’est là que j’ai réalisé qu’elle était là. Elle avait eu le temps de me voir m’astiquer la bite comme un porc assez longtemps pour être traumatisée. Lorsque je me suis retournée et que je l’ai vue, elle avait les larmes aux yeux. J’ai eu tellement honte, mais la voir comme ça m’a empêché de débander. J’avais honte, mais j’étais tellement pervers que j’étais aussi complètement excité qu’elle ait pu mater son père se branler la queue comme un animal en rut bien dégueulasse.

J’ai évidemment tout de suite remonté mon caleçon et je lui ai demandé pardon, je ne voulais pas non plus la braquer. Je me suis levé, me suis approché d’elle.

Elle m’a juste dit que ce n’était pas grave, qu’elle savait que les hommes faisaient ça, mais que voir son propre père le faire ...

... était choquant...

Je la pris dans mes bras, elle se mit à pleurer un peu, choquée, je la rassurais, lui disait "ma puce, ne t’inquiète pas, papa est là..." et je lui caressais les cheveux, sa petite tête enfouie contre mon torse. Elle s’est approchée un peu plus, m’a enlacé, elle avait vraiment besoin d’un câlin ma petite fille chérie...

Son bassin s’est approché du mien, je ne crois pas qu’elle l’ait fait exprès, mais sa chatte est entrée en contact avec ma queue qui était toujours aussi raide et gonflée. Elle a fait comme si elle ne sentait rien. J’ai fait durer le câlin, je la serrais fort, et je poussais ma bite bien dure dans mon caleçon contre son pubis, en faisant comme si ce n’était pas fait exprès. Je l’ai retournée, je l’ai enlacée de dos, ma bite collée contre son cul et j’ai continué le câlin, sans commentaire, j’ai fait comme si ce n’était qu’un câlin normal d’un père à sa fille... j’ai frotté ma bite dans sa raie à quelques reprises, et puis Patricia est arrivée.

Nous nous sommes désenlacés et je suis allé embrasser ma femme, la serrai fort et lui faisant sentir mon érection. Elle me regarda, déroutée, puis regarda ma fille, qui baissait la tête, honteuse. Elle ne dit rien. Derrière ma fille, dans le salon, défilaient toujours les images d’un film porno dégueulasse à la télé.