1. Père pervers et fille superbe (1)


    Datte: 24/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Petitesalopeabites, Source: Xstory

    Je m’appelle Philippe, j’ai 59 ans. Je suis marié à une superbe femme, qui était ma petite amie de fac. Patricia a 52 ans, elle est blonde, un peu grasse depuis qu’elle avait donné naissance à notre fille unique, Elise. J’adorais ses formes, ses énormes seins pendants qui ressemblaient à des mamelles de femelle, son énorme cul qui gigotait sous mes coups de bite quand je la baisais.
    
    J’ai toujours été assoiffé de sexe. J’ai même tendance à penser que j’ai un problème de ce côté-là, je bande à la moindre occasion, j’ai toujours envie de fourrer un trou humide, n’importe lequel, je sens ma bite baver toute la journée dans mon caleçon et ça peut parfois être embarrassant.
    
    Ma femme aime le cul elle aussi, elle est soumise, c’est ma chienne, je la démonte quasiment tous les soirs quand Elise est couchée. Elise doit souvent nous entendre d’ailleurs, Patricia crie comme une truie quand je la baise.
    
    Elise a 19 ans. Qu’est-ce qu’elle est bonne la salope ! Je sais, ça ne se fait pas de parler comme ça de sa propre fille, mais putain vous ne l’avez pas vue. Elle ressemble à sa mère, elle est un peu potelée, elle a un superbe visage de poupée... blonde aux yeux bleus, un bon 90D qui, contrairement à sa mère, se tient bien... des bons gros obus de pute. Je sais, je suis un gros porc de parler comme ça de ma fille, mais je ne peux pas m’empêcher de bander quand je la vois. Elle a aussi un bon gros cul que j’aimerais toucher, lécher, sucer, frapper, défoncer...
    
    Elle est ...
    ... tellement bonne. Et je pense qu’à force de nous entendre baiser avec sa mère, elle est devenue une bonne salope. Elle passe son temps à se balader à moitié à poil sous mon nez... Et moi, je bande comme un porc pour ma fille.
    
    Depuis qu’elle est ado, je m’arrange pour rentrer dans la salle de bains quand elle y est, prétextant que je ne le savais pas, ou que j’ai besoin de prendre quelque chose... En fait, je la mate dès que j’ai l’occasion. Quand je la vois à poil, ma bite commence à durcir. Cette grosse queue qui lui a donné la vie... elle se dresse immédiatement, comme un animal aveugle qui cherche son terrier, ma queue cherche ses petits trous humides... Mais je n’ai jamais rien tenté.
    
    Une fois, j’avais failli perdre le contrôle. C’était le matin, je me levais toujours avant tout le monde, j’ai toujours aimé être levé tôt et profiter du temps que j’avais seul alors que tout le monde dormait encore. Parfois, je prenais juste mon petit-déjeuner tranquillement, mais souvent, j’en profitais pour m’allonger à poil dans le canapé, les cuisses bien écartées, la queue bien raide et le gland mouillé, devant un film de cul, mon casque sur les oreilles et des putes gémissant sous les coups de bite dedans. Je me branlais lentement et longuement pendant une ou deux heures avant que mes deux chéries se lèvent.
    
    Un matin, alors que j’étais en plein rituel, la queue raide et gonflée, le gland gorgé de sang, prêt à exploser, je n’avais pas vu l’heure passer, tant j’étais en transe.
    
    Elise ...
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