L'inconnue du Nord-Express
Datte: 28/01/2025,
Catégories:
fh,
inconnu,
lunettes,
train,
fdomine,
caresses,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: FredN76, Source: Revebebe
... découvrant un nouveau territoire. Je l’invitai à me donner son imperméable, et allai l’accrocher avec le mien dans la penderie de l’entrée. Il faisait chaud dans cet appartement, j’avais alerté le syndic sur le problème du thermostat depuis des mois, en vain.
Je rejoignis Madeleine dans le salon, elle s’était assise sur le canapé, et envoyait des SMS.
— Qu’est-ce que je peux vous proposer ? Café ? Thé ? Whisky ? Cognac ?
Elle ne répondit rien. Sans jamais se départir de son petit sourire, sans se lever, elle tendit la main vers moi, attrapa ma ceinture et m’attira vers elle. Je crus défaillir. Sans me quitter des yeux, elle entreprit de déboucler ma ceinture. Dehors, la pluie tombait à nouveau violemment. Le tonnerre grondait. J’étais tétanisé, fasciné, comme une proie face au serpent.
Ma ceinture débouclée, mon pantalon tomba à terre. Mon souffle était court. Elle agrippa mes fesses, et les caressa, les palpa. J’avais perdu la notion du temps et de l’espace, ses caresses avaient provoqué mon érection. Mon sexe était dur, presque douloureux. Ses yeux accrochés aux miens, elle continuait son massage. Ses mains passèrent de mes fesses à mes hanches. Elle s’approcha, ses lèvres gobèrent ma queue brûlante à travers le tissu de mon caleçon. J’étais perdu, sonné. Haletant, incapable de produire un son ou de faire un geste.
Délicatement, elle pinça mon caleçon aux hanches, et commença à le baisser, délivrant progressivement ma hampe tendue de son enveloppe de tissu. ...
... Toujours sans me quitter des yeux, elle prit ma verge palpitante de désir dans sa main, déposa un tout petit baiser sur mon gland, et commença à donner de petits coups de langue, tout en me masturbant doucement. Sans crier gare, elle avala mon sexe d’un coup. Jouant de sa langue, caressant et malaxant mes bourses, elle entreprit de doux va-et-vient, s’arrêtant de temps en temps pour respirer, et pour recueillir mon liquide séminal qui s’écoulait de la commissure de ses lèvres.
Elle me possédait, entièrement. J’étais à elle, j’étais sa chose. Elle se leva, et m’embrassa. Nos langues tournoyaient dans une danse endiablée et fébrile. Mon désir pour elle était total, absolu. Elle avait réveillé la bête en moi. Alors qu’elle continuait à me masturber, j’entrepris de lui enlever son pull, et de déboutonner son chemisier. Je voulais la voir, dans toute sa splendide nudité. Non sans mal, je parvins à me défaire de tous mes vêtements, et l’aidai à faire de même. Elle était magnifique, ses seins lourds et superbes, son corps exsudait une odeur vanillée qui me rendait complètement fou. J’étais aiguillonné, je me sentais déchaîné, fou de désir. Je la fis s’asseoir sur le canapé, mais cette fois, je me mis à genoux devant elle. Je l’agrippai par les genoux, et l’attirai vers moi.
Cette fois, elle était à moi. J’allais la posséder. Le souffle court, j’approchai mon visage de son odorante toison bouclée d’or. Je déposai à mon tour quelques baisers sur son pubis et, sans coup férir, ma ...