1. Tendre Adeline


    Datte: 26/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: c-levis, Source: Hds

    ... caresser (ce n’était plus du massage). Elle déposa sans vergogne son pied sur mon sexe et le bougea nonchalamment. Je bandais comme jamais. D’autant qu’elle en profita pour ouvrir ses cuisses et me laisser voir quelle culotte elle portait depuis ce matin. Elle était évidemment déjà très humide. Comme si cela ne suffisait pas, au bout d’un moment elle passa carrément la main sous sa robe pour remettre sa culotte en place. Le jeu devenait trop dangereux. Il fallait y mettre un terme avant que n’arrive l’irréparable. Mais je savais que nous étions inexorablement partis pour faire des bêtises. Il aurait fallu que je la fasse partir de chez moi sous le prétexte d’un nouveau colocataire ou plutôt que je déménage tout de suite, très loin d’elle, ... Mais je savais que je ne le voulais pas et ne pourrais pas le faire. C’était une question de jour, d’heures, de minutes,... Je considérai déjà ma cousine comme ma maitresse. Dans ma tête, nous étions déjà amants. Heureusement elle était désormais majeure. Mais pour l’entourage et surtout la famille, c’était moi le plus âgé, donc le responsable.
    
    Et ce qui devait arriver arriva... Une nuit d’orage. Un orage terrible. J’entendis frapper à ma porte. « Oui Adel » « je peux venir avec toi ? J’ai trop peur ». Comme il y a dix ans, elle souhaitait me rejoindre dans mon lit. Là je savais. Cette nuit marquerait le début d’une nouvelle aventure. Je pouvais encore dire non. Je pouvais ? Non, je ne pouvais pas. Mon cœur battait à tout rompre. Le ...
    ... sien aussi j’imagine. « Viens ma belle. N’aie pas peur ». Officiellement je parlai de l’orage mais je pensais à autre chose. Elle s’engouffra dans mon lit et immédiatement je la pris dans mes bras. Un énorme coup de tonnerre retentit à ce moment-là (le coup de foudre). Elle avait une toute fine chemise de nuit blanche à dentelle. Culotte ou pas ? Suspense. Elle se serra encore plus contre moi. Je lui caressais doucement l’épaule. Ses genoux étaient contre mon sexe. Elle bougeait doucement pour m’exciter. Elle attrapa ma main pour la placer sur ses fesses. Le message était on ne peut plus clair. La porte était largement ouverte. Je sentis sous mes doigts la couture de sa culotte. Je caressais longuement cette frontière entre le haut de sa cuisse et sa fesse gauche. Je bandais comme un taureau sous les caresses de ses genoux. A chaque coup de tonnerre elle se serrait plus « protège-moi. J’ai trop peur, minaudait-elle. Tu me protégeras toujours, hein, dis ? » « Oui ma chérie, toujours. Je t’aime. » C’était sorti malgré moi. Je me l’étais tellement répété que j’avais l’impression que c’était normal. Son visage se tourna vers le mien et nos lèvres se trouvèrent. Ce fut le baiser le plus incroyable de ma vie. Une douceur incroyable. Sa bouche était sucrée. Sa langue une friandise. Elle s’allongea sur le ventre et prit ma main qu’elle mit entre ses jambes. Sa culotte était détrempée. Je la caressais avec douceur. Elle me força à aller plus vite, plus profond. Je sentais ses lèvres ...
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