1. Tendre Adeline


    Datte: 26/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: c-levis, Source: Hds

    Mon enfance fut très heureuse. J’étais fils unique mais rarement seul. J’ai toujours eu beaucoup d’amis qui venaient à la maison ou chez qui j’allais le mercredi ou le samedi.
    
    Les weekends et les vacances étaient consacrés à la famille. Mes parents avaient beaucoup de frères et sœurs et j’avais donc beaucoup de cousins et cousines vivant tous dans la même région. Adeline était la fille de ma tante. Elle avait trois ans de moins que moi. Elle avait une sœur de mon âge avec qui je m’entendais très bien mais qui ne m’a jamais attiré physiquement. Adeline, par contre, dès la petite enfance me troublait énormément. Il faut dire qu’elle était extrêmement jolie.
    
    Cheveux blonds, yeux bleus, … un visage d’ange. J’adorais sa façon de s’habiller, toujours très féminine en jupe ou robe colorée, fleurie, blanche, à dentelles, transparente, etc… Un ange.
    
    J’aimais aussi et surtout son sourire. Elle souriait (et sourit toujours) tout le temps. C’était une enfant calme, studieuse, rêveuse mais très enjouée, rieuse, blagueuse, … Et surtout très sensuelle.
    
    Je pense que c’est elle qui a commencé à me chercher. Je me souviens des premières fois où j’apercevais sa petite culotte sous sa robe. C’était à chaque fois un sentiment très fort pour moi sans pareil avec les autres filles (cousines ou copines d’école). A 8 ou 10 ans, on ne comprend pas encore les raisons de ces émotions. J’ignorais à ce moment-là qu’elle avait compris mon émoi et en jouait à merveille. Rapidement c’est elle ...
    ... qui décidait ce qu’elle me laissait voir ou pas. Les jeux de billes, les balades à vélo ou la balançoire étaient ses occasions idéales de me laisser découvrir ses dessous. Les occasions de s’accroupir ou s’asseoir par terre sont nombreuses dans une journée et elle sut très vite user de chaque situation. Nous jouions également beaucoup dans les escaliers de la maison et il me suffisait alors d’être assis quelques marches en dessous d’elle pour jouir d’un spectacle sans pareil.
    
    C’est un peu plus tard que les premiers effleurements commencèrent. Elle faisait souvent en sorte que ses doigts me touchent un peu ou que je la prenne dans mes bras pour l’aider dans différentes situations comme descendre d’un mur et moi, galant, je ne m’en privais jamais mais c’était avant tout pour mon plaisir à moi.
    
    J’adorais cela et faisais tout pour me retrouver le plus près possible d’elle. Son odeur m’a toujours hanté également. Aucune autre fille n’avait le même parfum naturel et la sentir déclenchait immédiatement en moi des sensations très fortes. En voiture, on était bien évidemment toujours côte à côte et l’idéal était quand on était nombreux sur le siège arrière, nous nous retrouvions forcément (innocemment) très serrés l’un contre l’autre. J’ai ainsi passé des heures et des heures de bonheur intense. Il lui arrivait aussi de venir s’assoir sur mes genoux quand j’étais tranquillement dans un fauteuil. Comprenant le petit jeu, le fauteuil du salon devint familier. Moi, assis normalement ...
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