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Tendre Adeline
Datte: 26/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: c-levis, Source: Hds
... ses cuisses pour que je vois sa culotte. Autre particularité, elle remettait sa culotte à chaque fois qu’elle allait aux toilettes et la quittait à nouveau à son retour. Elle laissait également la porte entr’ouverte alors que mon lit se trouvait juste en face. Le tout bien sûr pour que je regarde. Je ne rêvais que d’une chose, lui retirer moi-même sa culotte. Je crois qu’elle lisait dans mes pensées car un soir sans que je m’y attende, elle me le proposa « tu veux me quitter ma culotte ? ». J’étais stupéfait. Comment pouvait-elle me faire une telle proposition ? Comment une fille sage et sérieuse pouvait-elle demander cela à un garçon ? Elle n’était peut-être pas si sage en fait. Je me sentais pris au piège de mes désirs découverts. Je ne le fis jamais malgré plusieurs propositions de sa part. Un soir d’orage, elle prétendit avoir très peur et me demanda de venir dans mon lit. J’en rêvais. Nous nous retrouvâmes dans mon petit lit. Je la serrais de plus en plus fort au fur et à mesure des coups de tonnerre. C’était merveilleux. Après l’orage, elle fit semblant de dormir pour rester. Bien souvent elle me tournait alors le dos en position du fœtus. Je prenais la même position derrière pour approcher mon bas ventre de son derrière. Elle en chemise de nuit, moi en slip. Le bonheur. Elle me demanda même souvent de venir y compris quand le temps était clément… Il m’arrivait lorsqu’elle se levait avant moi, le matin, de renifler ses culottes de la veille dans une honte maximale et ...
... surtout la crainte d’être surpris. Son odeur y était décuplée et électrisante… A partir de seize ans, je commençais à avoir des aventures avec des filles de mon âge. Elle connut pratiquement toutes mes petites amies car même en dehors des réunions de famille, nous nous retrouvions très souvent le weekend avec nos amis respectifs et souvent communs. Nous formions une sorte de grande bande où les cousins se confondaient avec les copains. Elle eut aussi rapidement des petits copains mais il arrivait que nous nous retrouvions célibataires en même temps et invariablement on se rapprochait l’un de l’autre dans ces moments-là. Je me souviens d’un de ces bals du samedi soir où on allait souvent l’été. Notre plaisir était surtout de se retrouver, toute la bande, autour d’un verre à écouter la musique, discuter, flirter, se déhancher sur les derniers airs disco en rigolant beaucoup… Ce soir-là, nous étions toute une bande de copains et ni elle ni moi n’avions de petit(e) ami(e). Ce fut le quart d’heure des slows. Ceux qui n’étaient pas en couple se regroupèrent autour de la piste, histoire de voir… Elle était à côté de moi et d’un coup, à ma grande surprise, elle m’attrapa par la main « Et puis zut avec un grand sourire ». Agréablement surpris par cette proposition je me fis une joie de l’accompagner. C’était « les yeux revolver » de Marc Lavoine. Je vécus ces minutes comme les plus belles du début de ma vie. Quelle douceur que d’être dans les bras d’Adeline. Je me sentais comme un ...