1. La Détention


    Datte: 26/01/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica

    ... regarde-la tant que tu voudras : c'est sa punition. Tu peux être sûr qu'elle va avoir grand honte que tu puisses la voir toute nue, attachée comme elle est.
    
    Hippolyte s'avança pour voir de plus près la belle fille qui était là couchée sur cette grande table, les membres écartés, laissant voir tout son beau corps complètement dénudé. Arielle le voyant si près d'elle aurait voulu cacher ses seins, son sexe avec ses mains mais ses mains étroitement liées ne lui appartenaient plus. Elle se contenta de fermer les yeux pour ne plus voir ce visage hideux que le désir achevait de défigurer. En même temps qu'elle était submergée par la honte, elle s'imaginait ce que voyait Hippolyte. Elle se disait : Hippolyte le mongolien est en train de me regarder toute nue. Il voit mes seins, mon ventre, la petite toison au-dessus de mon sexe grand ouvert. Et il est excité par tout ce qu'il voit. Cette pensée la couvrait de honte mais en elle montait aussi sourdement un autre sentiment indéfinissable qui commençait à la troubler. Elle ouvrit un instant les yeux et vit Hippolyte penché vers son corps avec un regard fou.
    
    - Madame, j' peux aussi la toucher?
    
    - Oui, Hyppolyte, tu peux la toucher à la condition que tu ne dépasses pas certaines limites. Nous y veillerons.
    
    Arielle frissonna quand elle sentit les mains moites du garçon se frotter sur ses seins qu'elles écrasaient maladroitement. Il en pinça les pointes qui s'étaient dressées à la grande honte d'Arielle qui laissa échapper un ...
    ... petit gémissement. Haletant, il passait les mains sur tout ce corps comme s'il avait voulu s'en approprier la peau, les courbes et les creux. Spontanément, les mains d'Hippolyte étaient attirées vers le bas du corps de la jeune fille où ses jambes écartées laissaient entièrement voir les tendres tissus de son sexe. Fasciné par ce qu'il découvrait, il laissait ses doigts suivre les délicats replis de l'ouverture de son vagin. Comme il semblait vouloir introduire son index dans l'orifice qu'il voyait se dessiner, Madame la Surveillante Générale lui fit aussitôt un signe de la main pour lui interdire ce geste. Docilement il n'insista pas et ses mains glissèrent vers les cuisses qu'il palpa longuement en poussant de petits grognements de satisfaction.
    
    Derrière Hippolyte, Arielle aperçut le père Guillaume qui contemplait ce spectacle avec gourmandise. Plus loin, les deux femmes, toujours aussi graves et sévères, ne perdaient rien de ce qui se déroulait devant elles, sous le prétexte de surveiller les agissements du garçon. Arielle vit tous ces regards braqués sur elle et sur l'exploration qu'Hippolyte faisait de son corps. La vague émotion qui naissait de la honte se changeait progressivement en plaisir et l'envahissait de plus en plus. Elle sentait venir ce spasme qu'elle avait souvent provoqué par ses caresses nocturnes lorsqu'elle déroulait complaisamment ses fantasmes favoris.
    
    Soudain, n'y tenant plus, Hippolyte grimpa sur la table et se coucha sur le corps de la jeune ...