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La Détention
Datte: 26/01/2025, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byParnoys, Source: Literotica
... sa punition. S'il vous plaît, s'il vous plaît, je vous supplie d'arrêter. Ca fait si mal. Je suis prête à faire tout ce que vous voudrez mais arrêtez, je vous en supplie La Surveillante fut enchantée d'entendre ces mots où la victime reconnaissait sa défaite. Elle laissa encore quelques instants le père Guillaume faire usage de son fouet puis elle lui fit signe d'arrêter. - Détachez- là et conduisez- la devant le mur où elle restera au piquet. Une fois détachée, Arielle fut poussée sans ménagement vers le lieu où déjà la veille elle avait passé un long moment après sa punition. C'est alors que la porte s'ouvrit brusquement et qu'on entendit crier : - Tonton, Tonton, l' cabot i s'est sauvé. - Hippolyte tout d'abord on n'entre pas comme ça. On dit bonjour. - Bonjour Madame, mais c'est qu'le cabot... - Oui, nous avons compris que ton chien s'était sauvé mais tu vas sortir avec ton oncle et régler tout cela dehors. Tu vois bien que nous sommes occupées. - Ah oui.. fit-il en écarquillant les yeux lorsqu'il découvrit soudain la jeune fille nue plantée devant le mur - Bon, Hippolyte, tu sors immédiatement et tu nous laisses tranquilles. Vous aussi Guillaume, vous sortez. Merci pour votre aide! - A votre service, Madame la Surveillante Générale. Arielle essayait de se tenir droite devant le mur mais ne parvenait pas à retenir ses sanglots. Elle touchait ses fesses qui brûlaient tellement, et sentait sous ses doigts le relief des sillons qu'avait ...
... tracés le fouet. - Germaine, allez lui mettre un peu d'onguent pour que les traces des coups de fouet ne restent pas. Mlle Germaine prit une petite fiole et s'approcha d'Arielle. La jeune fille sentit qu'on appliquait sur ses fesses une crème que Mlle Germaine étalait avec ses mains osseuses. Le contact de ces mains sur la peau nue de sa croupe ne lui faisait même pas horreur tant la souffrance avait effacé en elle toute réaction. Au bout d'un certain temps Arielle commença à se sentir mieux. La douleur devenait moins vive. Elle avait presque du regret de s'être humiliée tout à l'heure pour faire cesser la punition. Mais en même temps, elle appréciait d'avoir reçu son châtiment de la main du père Guillaume qui avait vu son corps nu se tordre dans tous les sens. Le vieux porc, pensa-t-elle, a dû se régaler. Cette idée ne lui était pas désagréable. En revanche elle ressentait un pénible sentiment de honte d'avoir été vue toute nue par le "mongolien", ce petit monstre que toutes les filles méprisaient et dont elles se moquaient ouvertement. On l'avait souvent surpris en train d'essayer de regarder ces demoiselles quand elles se rhabillaient après les séances de sport. Personne ne daignait lui adresser la parole. Or ce diminué mental l'avait vue toute nue venant d'être fouettée et l'on pouvait supposer que ce spectacle ne l'avait pas laissé indifférent. Mme la Surveillante générale et Mlle Germaine qui avaient longuement contemplé la jeune fille nue qui avait cessé de ...