La Détention
Datte: 26/01/2025,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byParnoys, Source: Literotica
... envieuses de sa jeunesse et de sa beauté. Remplies de fureur par ces paroles de défi, elles se précipitèrent sur elle, cherchant à lui retirer son peignoir. Mais la jeune fille ne manquait pas de force et les repoussa vivement. Voyant qu'il ne serait pas possible de la maîtriser, la Surveillante Générale s'empara d'une clochette qui était placée sur son bureau et l'agita longuement. Le père Guillaume apparut aussitôt.
- Guillaume, aidez-nous à maîtriser cette forcenée qui refuse de recevoir sa punition!
Guillaume se précipita et arracha le peignoir en dénudant totalement la jeune fille honteuse et apeurée. La tenant fermement, il aida Mlle Germaine à l'attacher solidement aux anneaux du poste de punition. Cette fois ce n'était plus seulement le dos nu d'Arielle aperçu de loin, c'était tout son corps, ses seins, ses cuisses, ses fesses, le triangle sombre de son sexe qui s'exposaient ouvertement sous les yeux du père Guillaume. Jamais Arielle n'avait éprouvé un tel sentiment de honte.
Pendant ce temps, la Surveillante Générale téléphonait à la Directrice pour lui relater l'incident qui venait de se produire. Elle parut satisfaite de la réponse qui lui fut donnée.
- Guillaume vous restez! Et c'est vous qui allez infliger la punition!
- Non, hurla Arielle, pas lui! Vous n'en avez pas le droit!
- Justement si! En raison de votre attitude, Mme la Directrice vient de me donner carte blanche.
Et tendant le fouet à Guillaume, la Surveillante Générale alla se ...
... placer devant Arielle pour mieux observer son visage pendant qu'elle recevrait les coups de fouet.
- Combien j'lui en donne Mme La Surveillante Générale?
- Cette fois, il n'y a pas de limites. On verra. Allez-y.
Le père Guillaume abattit le fouet de toutes ses forces sur les fesses de la jeune fille. Celle-ci dut serrer les dents pour ne pas pousser un cri. Les coups étaient beaucoup plus violents que ceux qui lui avaient été administrés la veille par la Surveillante-Générale. Arielle essaya de tenir bon. Elle ne voulait pas que ses bourreaux aient la satisfaction de la faire plier.Mais cette avalanche de coups qui ne s'arrêtaient pas ne fut plus supportable. Elle commença à gémir, puis à crier et à hurler. La Surveillante Générale avait le sourire aux lèvres de la voir enfin vaincue par la douleur.
Elle la regardait se tordre sous le fouet, la tête renversée, la bouche grande ouverte, les joues couvertes de larmes. S'apercevant que la victime était sur le point de céder, elle proféra ces mots:
- On pourrait peut-être envisager de suspendre la punition si Mademoiselle acceptait humblement de reconnaître qu'elle avait mérité cette correction et qu'elle suppliait qu'on veuille l'arrêter.
Pendant quelques instants encore, Arielle ne réagit pas à ces paroles mais comme les coups redoublaient et la déchiraient toujours plus, elle n'y tint plus :
- Oui, oui, je vous demande pardon, Madame la Surveillante Générale. Oui, je suis une mauvaise fille qui a bien mérité ...