La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1634)
Datte: 25/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrait de nouveau. Markus retirait tous les accessoires qui meurtrissaient mon corps, sauf les ventouses posées sur mes tétons. Ensuite, il me dégageait de ces carcans, empoignait ma chevelure pour me faire sortir de ce maudit placard et me contraignait à m’installer à quatre pattes, juste devant Monsieur le Marquis, toujours là.
- En levrette !, m’ordonnait le Châtelain alors qu’il déroulait un fouet qu’il tenait en main.
Je tremblais de peur, de fatigue, d’excitation, des trois à la fois sûrement… Sans perdre une seconde, le Maître traçait une marque rouge sur la peau de mon épaule avec une précision parfaite. Je poussais un petit cri de bête. Au second coup, je m’écroulais mais me redressais aussitôt. Le troisième et les coups suivants paraient mon corps nu, le marquaient, l’ornaient de beautés rouges et brûlantes alors que je me contorsionnais, et bientôt, à force de coups, de brûlures et de marques, la douleur mystérieusement disparaissait. De plus, il faut avouer que la maitrise parfaite de l’intensité des coups et de leurs cibles étaient digne de Sa dextérité à manipuler avec un savoir-faire à ne pas renier, cet instrument qu’était ce long fouet… Plus une once de refus, plus de désir de m’échapper, de me débattre, je m’offrais, tendais et montrais mon cul bombé et ouvert. Heureux, je venais de trouver le chemin qui menait de la douleur jusqu’au plaisir. Le Noble le savait, Il venait de me pousser dans mes derniers ...
... retranchements pour que je comprenne qu’un corps, mon corps était capable de tout, que la douleur n’était qu’un soleil torride, dont on pouvait se protéger avec un peu d’expérience…. Monsieur le Marquis laissait le fouet tomber au sol. Sans doute devait-Il admirer mon cul rouge écarlate, strié et parfaitement exhibé à Son regard Dominant et connaisseur. Il passait alors Ses doigts sur mes blessures, et dans un silence parfait, Il écoutait ma respiration, Il entendait mon ivresse et mon plaisir. Glissant Sa main entre mes jambes, le Maître saisissait mes bourses qu’Il tirait doucement vers le sol, giflant avec tendresse mes deux cuisses pour que je les écarte encore davantage. Ainsi, je me retrouvais assis cul par terre, jambes et genoux repliés sous mon corps servile, dos droit, tête baissée, je restais dans une forme de béatitude, d’un bien-être inconnu, jamais perçu jusqu’ici.
- C’est bien, ma salope de chienne… C’est très bien… Tu progresses, Je suis fier de toi !
Le Châtelain sortait alors Son sexe bandé de Son pantalon et pointait Son gland sur mes lèvres.
- Fais-toi plaisir, ma pute ! Fais-Moi jouir, car Je sais que pour toi, c’est une divine récompense…
Je fermais les paupières et sans utiliser mes mains, je glissais ma langue baladeuse et agile tout le long de ce Joyau bandé, celui du Maître ! Savourant son goût salé avant de le prendre en bouche et d’offrir au Châtelain la plus délicate fellation. Je m’appliquais comme jamais en y mettant tout mon cœur, tout mon ...