1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1634)


    Datte: 25/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... moment, apparemment dépité, tout en me toisant toujours fièrement. Il se baissait un peu, attrapait la corde pendante de mes couilles, donnait deux ou trois coups secs sur celle-ci. Non sans mal, je parvenais à contrôler mes plaintes.
    
    - Néanmoins, Je constate ici avec satisfaction, ta déchéance, ton avilissement. Tu vis l’opprobre, le déshonneur et l’humiliation constamment, alors, la bonne nouvelle, c’est que Je vais te laisser entre les mains de mon ami Markus, plus longtemps que prévu pour qu’il te dresse, pour qu’il t’éduque, t’élève et te familiarise à ce qui doit être ta nouvelle vie d’esclave. Je lui accorde tout pouvoir sur toi parce qu’il a ma totale confiance !
    
    Je constatais un léger sourire sur les lèvres fines de Monsieur le Marquis. Il semblait satisfait de me voir ainsi, mon corps soumis maintenu dans une immobilité parfaite, n’ayant d’autres choix que de subir, que de vivre ces infamies et turpitudes constantes. Puis, je le voyais fouiller la poche de Son pantalon. Il sortait de celle-ci, Son téléphone portable.
    
    - J’ai… comment dire… une petite récompense pour toi, ma putain… Une petite vidéo que j’ai réalisé ce matin même… Une vidéo te permettant d’avoir des nouvelles de ton futur mari, esclav’antoine. Tu vas voir, lui aussi est entrainé à devenir un bon chien…, tiens regarde !
    
    De son index, le Noble appuyait sur l’écran de Son smartphone et déclenchait la visualisation de l’enregistrement, puis tenait Son téléphone près de mon regard. Je voyais ...
    ... d’abord le visage d’Antoine, transpirant, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte, comme s’il cherchait vainement à respirer. Je l’entendais pousser des gémissements alors que la caméra se déplaçait, sur son ventre maintenu sanglé, puis sur son entrejambe écarté outrageusement, puis sur sa nouille énorme, presque difforme installée dans un tube en plexi glace sur lequel était installée une pompe permettant de faire le vide. Une main pressait la soupape pour faire pénétrer un peu d’air et la pression diminuait. J’entendais Antoine pousser un soupir de soulagement mais de courte durée. La main recommençait à presser la poignée et la nouille d’Antoine s’épaississait, s’étirait monstrueusement, jusqu’à ce que le bout de son gland gros comme une prune et rouge écarlate vienne toucher le sommet du tube. Ces jérémiades reprenaient… alors que la vidéo montrait les burnes anormalement gonflées d’Antoine, puis son cul obstrué par un plug conséquent. Enfin, la vidéo s’arrêtait là.
    
    - C’est pour toi, ma salope de chienne, qu’esclav’antoine se fait travailler la nouille… pour qu’il puisse bien te saillir le moment venu. Ce chien aura un bon calibre entre les cuisses, je te le promets, tu le sentiras passer lorsqu’il ramonera ton cul de salope et à outrance !, me disait le Maître en rangeant Son téléphone dans Sa poche.
    
    Peu après, Monsieur le Marquis refermait la porte du placard et une nouvelle fois, je me retrouvais dans l’obscurité, l’esprit vidé et rempli à la fois… Mais ...