1. LE DORTOIR


    Datte: 21/01/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Emile, Source: Hds

    ... mouvements plus tard, il est complétement en moi et je sens ses couilles entre mes cuisses.
    
    J’ai honte d’avoir si facilement cédé alors que je me voyais un avenir hétéro avec quelque jolie fille du bourg. A 18 ans, elles sont presque toutes belles ! Pourtant, ce que je peux vivre ce jour-là me ravit. Sa longue queue envahit mes viscères. Je suis bousculé, emmanché, transpercé et heureux d’être ainsi traité. Que dis-je heureux, complétement transporté par cette aventure sublime ! Il appuie fortement ses mains sur mes hanches pour pouvoir profondément remonter dans mon cul. A chaque mouvement, ses bourses heurtent bruyamment mon scrotum dans un grand « splasch » ; son ventre frappe mes fesses. J’écarte mes cuisses du mieux que je peux pour lui faciliter la tâche. Mon corps entier est éruptif, brulant, transpirant. Mon bas ventre est douloureux et attend que l’on s’occupe de ma queue tendue à l’excès. Heureusement, mon amant règlera le problème de sa main en quelques va-et-vient. Mon corps entier vibre de plaisir au point qu’il s’en étonne et me susurre : « Tu es sûr que c’est la première fois ? ». Je tends mes bras vers l’arrière pour lui prodiguer quelque discrète caresse. Je ne sais si c’est la branlette ou la sensation de son plaisir en moi qui déclenchent mon orgasme, mais j’ai un mal de chien à le rendre discret, à ne pas hurler, tant il est intense. Il murmure : « Quelle chance ! C’est rare qu’une première fois soit aussi réussie… ». Je suis, instinctivement, bien de ...
    ... son avis… Lorsqu’il sort de moi, nous nous effondrons tous deux sur le petit lit, l’un dans les bras de l’autre. Les câlins vont bon train, les baisers aussi. Du coup, l’excitation monte à nouveau et sa bite s’approche de mes lèvres. J’ai un mouvement de recul, car elle sort de mon cul, mais ce n’est pas une option possible. Il entre et commande « suce ! ». Je m’applique maladroitement en essayant de me rappeler comment il a pratiqué la veille. Je creuse et allonge ma langue pour mieux la recevoir. Mes lèvres s’arrondissent autour de son organe. Je tête avec application en imprimant de larges mouvements de va-et-vient. Ses mains enserrent ma tête et me guident. Lorsqu’il explose, il s’enfonce brutalement vers ma gorge, m’obligeant à avaler une partie de son foutre. Il murmure : « Quel bonheur ! ».
    
    Nous nous endormons un petit moment comme cela, salis et repus, couverts de nos foutres, mais heureux et fourbus, étroitement lovés l’un contre l’autre dans le petit lit. Mon cul, dont j’ai découvert une fonction de plaisir, reste douloureux et dans un premier temps dilaté. A mon réveil, quelques minutes après, je dois me rendre aux toilettes pour expulser les miasmes de mon initiation. Nouvelle traversée du dortoir mort de peur. Je sens maintenant le froid de la nuit sur mon corps humide. Je marche jambes écartées pour soulager mon fondement encore imprimé de cette intrusion amoureuse. Je me sens ridicule dans cette posture. Les grincements de sommier sont toujours là, la peur ...