1. LE DORTOIR


    Datte: 21/01/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Emile, Source: Hds

    Élève de terminale, j’ai aujourd’hui dix-huit ans et suis pensionnaire dans une institution religieuse pour garçons. Nous sommes hébergés en collectif. Une grande salle d’étude pour faire nos devoirs est confiée à la férule d’un jeune curé peu amène. Au dortoir, la nuit, le pion est un jeune mec brun aux yeux bleus d’une vingtaine d’années, musclé et sportif. Ce n’est pas une beauté, mais sa capacité à être aimable et généreux le rend lumineux à mes yeux. Je l’apprécie et nous nous entendons bien. De temps à autre, je le sollicite pour réviser une partie de mes cours et il s’en acquitte avec gentillesse. Nous nous retrouvons souvent pour cela dans son étroite chambrette au bout du dortoir. La configuration des lieux nous oblige à nous frôler au moindre mouvement. Même s’il n’y a rien d’ambigu dans sa gestuelle, je suis ému de ces contacts et laisse sans doute paraître mon trouble. Mais rien ne se passe et il reste très professionnel.
    
    Pourtant, une nuit sans lune, alors que je cherche vainement le sommeil yeux fermés, je sens une présence près de mon lit. Sans doute un condisciple insomniaque ! Quel n’est pas mon étonnement lorsque je sens une main se glisser sous les couvertures et commencer à déboutonner ma tenue de nuit. Je n’ose rien manifester, conscient du scandale qui résulterait du réveil de tout le dortoir. Je tressaille quand il commence à caresser mon torse. Lorsqu’il dit : « Calme toi, ce n’est que moi ! » je reconnais la voix du surveillant aux yeux bleus. ...
    ... J’aime le contact de sa main douce et me tortille de plaisir. Il baisse la couverture qui gêne son évolution et s’attaque à exciter mes tétons. Je suis très sensible à ce niveau et pousse un petit cri vite calmé par une main autoritaire. L’autre glisse sur mon ventre et entre dans mon pantalon de pyjama. J’ai honte de ma queue terriblement dressée qu’il commence à branler. Il la dégage du tissu et j’imagine que n’importe quel condisciple du dortoir pourrait me voir. Mais le plaisir est trop fort et je continue mes petits bruits de gorge étouffés. Sa bouche a remplacé sa main autour de ma queue et sa langue, autant que ses lèvres, s’appliquent à mon bonheur. Je suis émerveillé de son savoir-faire. Mon corps entier vibre sous la caresse. Il me suce comme un dieu. Puceau et sans expérience, je ne sais retenir longtemps le plaisir. Au bout de deux ou trois minutes, de longs jets de foutre ne tardent pas à inonder son visage et mon ventre à chaque tressautement de ma bite. Je suis KO ! Je ne sens plus ses lèvres. Je tends les bras pour le trouver. Rien ! Il a disparu me laissant, honteux, gérer mes souillures et le désordre de ma tenue. Je me rends discrètement aux lavabos pour me nettoyer un peu des liqueurs dispersées. Au passage, je constate que personne n’est éveillé et témoin de ma disgrâce. Ma nuit s’avère tourmentée, pleine de rêves de corps nus aux bites dressées.
    
    Le lendemain, à la fin de l’étude du soir, il m’attire à part en me prenant par la main. Je tressaille, troublé ...
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