1. 0314 Des surprises, et quelques imprévus (partie 2)


    Datte: 21/01/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... ».
    
    Je m’exécute, tandis qu’il se branle. Avec sa main libre, il fait pression sur ma tête pour que je descende. Je sais ce dont il a envie. Je parcours très lentement les quelques centimètres qui séparent ses boules de sa rondelle, je le fais languir, je le fais frémir.
    
    Lorsque ma langue atteint son but, le bobrun sursaute. Les caresses de ma langue sont d’abord légères. Mais sa main de plus en plus lourdement posée sur ma nuque m’indique que le bogoss a envie que j’y aille franco. Alors, j’y vais à fond, j’envoie le bout de ma langue s’insinuer le plus profondément possible dans son intimité. Jérém se branle de plus en plus vite. Quelques secondes plus tard, je l’entends pousser un dernier, long, profond ahanement. Sa rondelle se contracte, et j’entends le bruit sourd de ses giclées qui fendent l’air et atterrissent sur son torse musclé. Un instant plus tard, ma langue se lance à la chasse de la moindre traînée brillante dessinée sur sa peau chaude. Mon odorat et mon goût saturés par la semence de mon beau mâle brun, je jouis avec une intensité inouïe.
    
    L’appartement comporte deux chambres, dont une très grande dans laquelle nous venons de faire l’amour, un séjour avec une belle cuisine équipée et un grand canapé sur lequel j’envisage de faire l’amour, une grande salle de bain avec une grande douche dans laquelle ce ne serait pas mal non plus de faire l’amour. D’ailleurs nous le faisons. Je rejoins mon bobrun (un magnifique bobrun à poil mouillé) sous l’eau et j’ai ...
    ... droit à des bons coups de reins et à être rempli de bonnes giclées de rugbyman.
    
    L’appartement est décoré avec un certain standing, et il a vraiment de la gueule. Je m’y sens bien, et je m’y verrais bien y habiter avec mon amoureux. Rentrer de mes cours le soir, être là quand il rentre de ses entraînements, lui faire une pipe ou m’offrir à lui pour le détendre. Ou bien l’attendre avec le dîner préparé, l’entendre raconter sa journée, le féliciter quand tout va bien, le rassurer quand ça va moins bien.
    
    Nous passons la nuit à discuter, à nous câliner. Nous refaisons l’amour. Au réveil, je suis dans ses bras. Nous prenons le petit déjeuner ensemble. Oui, je me verrais bien me réveiller chaque matin à ses côtés, dans ses bras. Prendre le petit déjeuner avec lui, le regarder finir de s’habiller, préparer son sac d’entraînement, le regarder partir, lui souhaiter une bonne journée. Et pouvoir penser que notre séparation ne sera que de quelques heures, que je vais le retrouver le soir, pouvoir à nouveau le prendre dans mes bras.
    
    Après son départ, ses affaires de la veille tout droit sorties de son sac d’entraînement et jetées négligemment sur le sol de la salle de bain attirent mon regard, mon odorat. J’attrape son boxer et je le porte contre mon nez. L’odeur de la lessive se mélange à celui de la transpiration, à celui de sa queue. Je me branle et je jouis très fort.
    
    A chaque fois que je viens à Paris depuis désormais plus d’un an, je me dis que je devrais aller visiter le ...
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