Être Novice accomplie
Datte: 20/01/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... élève, Ève dégrafait son boléro et faisait glisser sa jupe, dévoilant ses dessous. Le bandeau de tulle blanc qui soutenait ses seins sans en couvrir les tétons et celui qui entourait ses hanches révélaient par transparence les formes qu’ils étaient supposés masquer. Même de son coin éloigné, Colette pouvait deviner les fesses et l’intimité de sa Maîtresse.
Elle n’était pas la seule à lui porter un regard admiratif. Les hommes, bien qu’habitués, n’en détachaient pas le leur, et les yeux des femmes de la maisonnée, adjointes ou servantes, témoignaient de leur passion commune. Quant à Madame le Professeur, promue fouetteuse en devenir, elle avait tout bonnement suspendu le geste de quitter son peignoir, comme médusée par la quasi-nudité de son hôtesse et éducatrice. Laquelle s’empressa de venir à son secours avec une telle gentillesse qu’on ne pouvait la repousser.
Le geste fut si naturel qu’il parut être le simple prolongement de celui esquissé, et le peignoir retiré découvrit la dame dans des apparaux semblables à ceux qui l’avaient étonnamment stupéfiée. Les bandeaux de tulle étaient corail et non blancs, certes. Celui du haut voilait presque pudiquement les tétons. Mais leur transparence était identique, et celle qui les portait s’en apercevait à sa grande confusion. Elle eut toutefois la hardiesse de se reprendre et le bon goût de ne pas chercher à cacher ses fesses trop maigres ni sa touffe trop visible en suivant sa guide vers la dolente Aloïse.
Colette avait ...
... pour le coup totalement oublié ses tourments, l’admiration les compensait. Sa Maîtresse savait pousser quiconque la côtoyait à se soumettre à son désir. Une once de flatterie et un brin de séduction avaient transformé l’universitaire compassée en bacchante prête à s’encanailler. Le charme de l’ensorceleuse avait suffi pour qu’émerge la vraie nature de sa proie sous le vernis des conventions. Maintenant, elle l’amenait à ses fins.
Elles passaient et repassaient toutes deux autour de l’ex Novice. Sa Maîtresse montrait à une élève de plus en plus excitée les traces qui parsemaient le corps. Elle la pressait de toucher les zébrures, lui désignait les marques à peine visibles qui restaient de ses coups trop timides, parcourait elle-même du doigt les autres plus accentuées et les caressait parfois avec tendresse. Elle termina son inspection par une claque presque amicale sur les fesses et agita sa cravache favorite, fine et méchée, face à Aloïse qui la regardait fascinée.
— J’ai compté quatre-vingts et un coups, soumise. Es-tu prête pour vingt autres ?
— Oui Maîtresse.
— Tu n’as guère souffert aux dix premiers, n’est-ce pas ?
— …
— Allons soumise, sois franche ! Mon amie Madame l’examinatrice a-t-elle frappé très fort ?
— Non, Maîtresse.
— Sois gentille de lui pardonner. Verrais-tu un inconvénient à ce qu’elle recommence ?
— Non Maîtresse.
— Où veux-tu être fouettée ?
— Sur les seins et la chatte, Maîtresse.
— Tu es bien sûre de toi ! Mais soit, ce sera sur chaque ...