Être Novice accomplie
Datte: 20/01/2025,
Catégories:
ff,
fff,
fsoumise,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
fouetfesse,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... endroit que tu souhaites.
— Là où vous le désirerez, Maîtresse. Mon seul vœu est de vous plaire.
— C’est bien. Nous allons le satisfaire. Cambre-toi et plie les jambes en arrière, s’il te plait.
Ève cingla avec précision chaque bout de sein, sourit aux gémissements contenus et tendit le manche à son amie – sa « Chère Amie », pour reprendre exactement ses termes – en l’invitant à l’imiter. La dame (comment l’appeler autrement quand elle était sortie de sa mission initiale ? l’amie ? la femme ? la disciple ? ou l’envoûtée ? ) la dame, donc, arma son bras du mieux qu’elle put, mais les plaintes exagérées de sa victime ne dupèrent pas son mentor. Aloïse hérita de deux sévères torsions des tétons pour tromperie et Ève enlaça sa disciple pour lui prendre le poignet.
— Ne soyez pas si contractée, Chère Amie, pria t’elle suavement en resserrant son étreinte. Laissez-moi vous guider. Détendez votre bras et suivez mon mouvement… Comme cela !
Cette fois, le sursaut ne fut pas feint. Après quoi, la Maîtresse redoubla la démonstration pour une meilleure assimilation de la technique du geste par son élève, qu’elle encouragea à recommencer seule en la tenant affectueusement par les hanches. Le trouble manifeste de la dame à ce contact étroit de leurs corps dévêtus ne l’empêcha pas de mettre tout son cœur dans la répétition de l’exercice. Quelques gémissements étouffés récompensèrent ses efforts.
— Merci Madame Maîtresse, s’embrouilla Aloïse.
Sa Maîtresse fit preuve de ...
... mansuétude en tolérant ses balbutiements, et de bienveillance en la délivrant de son inconfortable position. Elle sollicita l’aide de sa Chère Amie pour la soutenir le temps de la détacher. Embrasser à bras le corps la nudité de l’ex Novice était une expérience nouvelle pour la dame. Elle s’acquitta pourtant fort bien de sa tâche, malgré la confusion pudique ou l’émotion sexuelle qui rougissait ses joues, et ne s’en dispensa pas ensuite tant sa protégée revenue au sol vacillait sur ses jambes.
— Tes pieds sont encore douloureux, n’est-ce pas, Aloïse, s’apitoya Ève. Je vais te permettre de les soulager. Prends la position du poirier. Tu nous montreras que tu es souple et digne d’être formée.
Aloïse semblait s’efforcer en vain d’exécuter le mouvement. Apparemment, ses bras fatigués ne supportaient pas son poids, les muscles ankylosés refusaient de répondre et elle ne pouvait tenir la pose. Elle retomba sur le dos, l’air penaud. Force était, pour corriger cet échec, se désola Ève, de faire encore appel à l’obligeance de son assistante du moment.
— Mais je vous en prie, ma chère, c’est un honneur pour moi de vous aider, affirma celle-ci. Comment puis-je vous être utile ?
— Placez-vous face à moi, si vous voulez bien. Lorsqu’elle lèvera les jambes, attrapez ses chevilles pour l’aider à se mettre à la verticale et à se maintenir droite. Je pourrai ainsi traiter ses seins sans être gênée.
Tête en bas, en équilibre instable, Aloïse attendait en essayant de faire bonne figure ...