1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (10) : Tullia e


    Datte: 17/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... mari, Vettius Valens. Je sais que tu envoies chaque jour un rapport à Lurco. Il me plait de faire pousser les cornes de ce chien. Obéis, sinon il t’en cuira, je ne plaisante pas ! Je peux m’inspirer des méthodes de Lurco en te livrant à Adherbal. Il est lui aussi privé de Lucia et il est en manque. Il se ferait une joie de s’occuper de toi, n’est-ce pas, Adherbal ?
    
    • Je suis à tes ordres, maîtresse !
    
    Volusa comprend que Tullia ne plaisante pas. Elle contrôle sa rage et fait signe aux servantes de préparer la chambre. Tullia prend Valens par la main et le conduit dans l’immense chambre de Lurco, qu’elle n’a jamais occupé, même une seule nuit. C’est là qu’elle va s’offrir à Valens.
    
    Tullia laisse tomber son vêtement sur ses hanches avant qu’il ne glisse sur le sol dans un bruit étouffé. Valens remarque qu’elle porte un bracelet à la cheville lorsqu’elle commença à s’approcher de lui pieds nus. À chaque pas, il tintait imperceptiblement. L’homme admire sa poitrine plantureuse. Les tétons sont bien dressés et à leur vue, son sexe en fait autant.
    
    Les doigts de Tullia se posent sur le sexe de son amant. Elle tremble insensiblement. Elle ferme les yeux quelques secondes, se concentrant sur ce bâton de chair douce et chaude qui vit au creux de sa main. Valens laisse échapper un soupir de contentement. Tullia sourit timidement.
    
    La jeune femme pousse son amant sur le lit et s’installe à califourchon sur son ventre. Elle pose ses mains sur son torse. Elle sent les ...
    ... muscles de l’homme se contracter. Une chaleur excitante émane de ce corps viril.
    
    Elle sent le sexe du médecin contre sa vulve. Elle a de plus en plus envie de le sentir s’enfoncer très loin en elle. Elle prend appui sur le torse de Valens. Elle sent aisément ses tétons se dresser.
    
    Valens frémit sous son corps et Tullia sent une vague de plaisir déferler dans son bas-ventre. Elle entama de lents va-et-vient le long du sexe tendu de l’homme.
    
    Valens regarde avec avidité ce corps souple et chaud monter et descendre tel le flux et le reflux de la mer qui vient lécher la grève. Il ne peut s’empêcher de laisser échapper quelques soupirs de volupté, surtout lorsque la pression des doigts de la jeune femme s’accentue sur son torse, les ongles s’enfonçant dans sa chair. Pour lui, il est clair qu’elle essaie de retarder son plaisir. Cela est d’autant plus évident qu’elle se mord la lèvre inférieure jusqu’au sang, que ses traits de son joli visage sont déformés par le plaisir
    
    Valens ferme les yeux à son tour et se laisse submerger par le plaisir. Il sent une vague de plaisir intense naître au creux de son ventre. Il a envie de jouir et ne se retient pas. Le plaisir se diffusa dans tout son corps telle une décharge électrique, tandis que sa semence inonde le ventre de Tullia.
    
    Tullia semble épuisée, vidée de toute énergie. Elle reste langoureusement étendue sur le lit, en proie à la béatitude qui suit l’amour.
    
    • Je suis heureuse, mon amour. Je n’ai qu’un regret.
    
    • Lequel ? ...
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