La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1657)
Datte: 14/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... bien connue, derrière moi, m’interpeller.
- Tiens, que fais-tu là, Ma salope de chienne ! Viens près de Moi…
Cette voix n’était autre que celle du Maître. Je me retournais, immédiatement et toujours à quatre pattes et j’avançais ainsi jusqu’à Lui, pour exaucer Ses volontés. Monsieur le Marquis tenait en laisse d’une main, une jeune et très belle femelle soumise à la plastique magnifique, les sinuosités de son corps nu aurait fait fantasmer tout un régiment !, bref une silhouette splendide. C’était une asiatique aux cheveux longs et noirs attachés en queue de cheval. De l’autre main, le Noble tenait en laisse également un jeune esclave mâle, ébène de peau, la vingtaine d’années environ pour tous deux qui évoluaient donc en quadrupédie. Avec respect, je me prosternais devant Ses nobles pieds, le cul en l’air, la tête au sol, en faisant en sorte de cambrer mes reins au maximum.
- Tu as de belles couleurs, Ma salope de pute ! Je suppose que Madame Marie est passée par là… Sans doute avait-elle de bonnes raisons pour te marquer ainsi ! Parle, salope, Je t’y autorise...
- Oui Maître, Madame Marie m’a sévèrement puni, parce que je le méritais, j’avais commis une faute, Maitre…- Et par trois fois, tu as commis cette faute, n’est-ce pas Ma pute ?
- Oui Maitre, veuillez me pardonner, Maître.
Je n’obtenais pas de réponse en retour, mais comprenais que le Maître était parfaitement au courant de la situation. Mais pour l’heure, je restais strictement immobile, ...
... impassible même, y compris lorsque je sentis une langue douce et soyeuse passer sur ma raie anale. C’était celle de cette magnifique soumise asiatique qui manœuvrait. D’un claquement de doigts, d’un bref à-coup sur sa laisse, la jeune esclave était venue se placer derrière moi, entre mes cuisses. Sa langue effleurait mon trou de salope et le caressait délicieusement, alors que l’esclave mâle, sur ordre de Monsieur le Marquis, écartait mes lobes fessiers de ses deux mains, pour maintenir ma cavité et ma marge anale largement ouverte. Mon cœur battait comme un torrent, je sentais la moiteur sous mes mains, je sentais mes muscles tendus et enivrés, je contemplais mon esprit flou, déglingué, qui ne demandait qu’à en recevoir plus, toujours plus, plus encore. De temps à autre, je sentais la main tiède du Maitre qui me caressait le dos, qui glissait doucement le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à ce que Son index et Son majeur viennent s’enfouir entre mes fesses et caresser doucement la partie sensible, par des petites pressions et des mouvements circulaires sur mon œillet flétrie. Et lorsque Ses doigts se retiraient, la langue de la jeune femelle reprenait possession de mon trou, s’enfonçant doucement, le salivant copieusement, le pénétrant délicatement.
- Tu vois que tu es une vraie putain, je vois ton corps de pute frissonner !, me lançait le Maître.
Le Châtelain avait raison, je frissonnais de plaisir, donc j’étais bel et bien une vraie putain, une vraie salope désireuse de se ...