1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1657)


    Datte: 14/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1656) -
    
    Chapitre 46 bis : Introspection et punition –
    
    - N… Non… Ma.. Madame Marie, je ne …. ne comprends pas… Madame Marie…
    
    Deux coups de cravache appuyés tombaient sur mes omoplates, avant que cette perverse femme reparte derrière son ordinateur… Elle remettait la vidéo en route puis revenait vers moi, me tenant toujours sévèrement par les cheveux. Je regardais de nouveau le film jusqu’à un arrêt sur image. Je me voyais assis sur le fauteuil avec Louise à mes côtés, me caressant la main.
    
    - Il n’y a rien qui te choque ici, espèce de sale putain…
    
    Je ne voyais toujours pas ce que voulait me faire dire cette odieuse femme. J’essayais désespérément à décrypter cette image… rien ne me choquait… pourtant la cravache entrait de nouveau en action, visant cette fois-ci mes cuisses.
    
    - Quand vas-tu comprendre que tu n’es qu’une pute ?, me disait-elle en me tenant toujours d’une main par les cheveux et en me secouant la tête dans tous les sens.
    
    Je faisais pâle figure… pourtant mes joues devaient être écarlates avec les gifles que je recevais sans cesse…
    
    - Ne vois-tu pas ta posture sale chienne, crois-tu qu’elle soit en adéquation avec ce que tu es ! Par trois fois, tu as croisé les jambes… Quand vas-tu comprendre qu’une pute garde toujours les cuisses grandes ouvertes, hein ?…, dis-moi ! Quand cesseras-tu de faire le contraire de ce que l’on t’enseigne ...
    ... ici ? Une pute doit toujours avoir son entrejambe accessible, donc, elle reste en tout temps, en tout lieu, les cuisses écartées. C’est même strictement interdit que tes genoux se touchent… C’est si compliqué à comprendre, ça ? Espèce de bâtard stupide et sans cervelle !
    
    Les coups de cravache redoublaient d’intensité, cette satanée cuisinière frappait mon corps nu et exposé, le zébrait et lorsqu’elle s’arrêtait enfin, elle me laissait gisant au sol, tel un chien battu et gémissant.
    
    - Si ce sont de bonnes dérouillées comme celle-ci qu’il te faut pour comprendre et strictement obéir, eh bien fais-moi confiance… Je serai toujours là pour t’administrer ces corrections, ça il n’y a pas à en douter. Aller, debout, casse-toi sale bâtard et que ça te serve de leçon car la prochaine fois que tu écartes tes sales pattes, je te pends par les couilles.
    
    Je me relevais non sans peine et quittais cette salle de vidéosurveillance sans trainer et à quatre pattes le plus vite que je pouvais avancer, après avoir remercié Madame Marie en lui léchant les pieds. Oui sincèrement, je la remerciais de me conditionner ainsi, de me rappeler chacune de mes erreurs, chacune de mes lacunes. Ces corrections m’étaient nécessaires pour me remettre sur le droit chemin, à ma place, à cette place qui m’était devenue indispensable pour être cette chose, cette pute que je désirais tellement être… Arrivé dans le grand hall d’entrée et alors que j’allais atteindre la porte principale, j’entendais une voix ...
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