Nuit Magique
Datte: 12/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... direction a mis un peu de lumière pour que tous puissent mieux voir le spectacle dans la salle.
Quand nous ressortons, Julie tient à peine sur ses pieds. Je lui enlève la cagoule maculée de sperme et nous allons prendre un verre au café du coin. La nuit se termine, et personne ne s'offusque que Julie lape son eau dans un bol posé à terre à mes pieds. Ses yeux sont brillants, elle me regarde à chaque instant, baissant les yeux dès que je risque de croiser son regard. Je décide de lui faire un joli cadeau. Remontés sur la moto, nous faisons quelques mètres jusqu'au sacré cœur, quasiment désert. Accoudés à la barrière, nous distinguons le jour qui lutte pour se lever. Je me glisse derrière elle et trouve naturellement le chemin de ses reins. Je la prends, là en pleine rue, doucement, tendrement. Elle se cambre, voudrait que je la transperce. Quelques rares piétons nous croisent, nous sourient, je continue tendrement. Ce n'est que lorsque le soleil apparaît enfin que je me retire d'elle malgré son soupir de déception. Il est temps de rentrer, je lui murmure comme j'ai envie de la battre maintenant sur ses fesses et son dos immaculés. Elle se presse contre moi, me supplie, m'implore de la battre, me promet de s'offrir comme jamais.
Et elle tient sa promesse. La badine ne la fait pas flancher malgré la douleur de ses brûlures. Son dos est une constellations de marques qui se chevauchent, qui gonflent sa peau. Je lui ai mit un bâillon, voulant qu'elle puisse crier aussi fort ...
... que je la batte. Pour les fesses et les cuisses j'ai sorti d'autres instruments de torture. D'abord un martinet fait de fils électriques dont chaque brin laisse une marque terrible et violacée, mettant ses fesses dans un état apocalyptique en moins de 10 coups. Puis un paddle muni de pointes qui percent en autant de points ses chairs sensibles. Ses yeux sont exorbités, elle ne connaissais pas cela. Les larmes coulent, mais elle tend les fesses et les jambes en même temps voulant s'offrir au-delà de ses capacités.
Quand il est temps pour elle de rentrer, je lui offre un dernier cadeau, un souvenir que j'espère elle gardera quelques temps. Ses tétons ont peu souffert, sinon d'être sans cesse pincés, tirés, étirés. Je lui présente les anneaux que je veux lui mettre, des anneaux en or, magnifiques mais gros. Je ne lui demande pas son avis, mais elle se jette à mes genoux pour m'implorer. Elle me touche tellement, et je les lui offre avec bonheur. Elle ignore que j'avais pour projet dans la soirée de visser ses tétons à une poutre avec une visseuse, et bien d'autres tortures que je voulais faire, mais ce n'ai pas eu le temps. Alors elle n'aura que l'aiguille de 3 mm pour en jouir.
Son regard ne quitte pas le mien. La pression est douloureuse pour moi au niveau du doigt, je n'imagine pas ce qu'elle endure au niveau du téton. Je sens comme un craquement, et l'aiguilles traversent d'un coup toute la largeur, pour ressortir de l'autre côté. Enfiler l'anneau est un jeu d'enfant. ...