Nuit Magique
Datte: 12/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... presque disparu.
Je l'allonge sur le ventre, la masse doucement, m'enivrant de la douceur de sa peau. Elle continue à gémir, les intestins en feu, le sexe aussi mais différemment! Je la retourne sur le dos, ses marques sont sublimes, je les suis une à une, grattant parfois une croute, massant ses seins martyrisés, léchant les tétons encore intacts, embrassant son cou, avant de partager un long baiser. Je lui écarte les cuisses, soulève ses fesses, je la prends doucement. Ses yeux sont brûlants, notre étreinte est longue et tendre. Elle me murmure sans fin qu'elle est à moi, elle semble irradier. Elle veut s'endormir, mais je la sors du lit en la tirant durement par son anneau, la soirée ne fait que commencer.
Je l'habille car nous sortons. Elle ne porte que son imperméable et ses chaussures à talon. Je lui enfile difficilement une cagoule opaque en latex sans d'autre ouverture que deux trous pour respirer avec deux tuyaux s'enfonçant dans chaque narine. Une fermeture éclair peut libérer l'accès à sa bouche. Julie panique un peu, la tension sur son visage est très forte et la respiration difficile. Je bloque les deux tuyaux, elle panique immédiatement. Je la rassure en la touchant. Elle n'a plus aucune vision et une audition très faible. Je lui mets un collier pour accrocher la laisse puisque l'anneau de son nez n'est pas disponible. Enfin je lui enfile un casque de moto, nous allons nous déplacer en deux roues.
Elle se colle contre moi, incapable de savoir de quel ...
... côté se pencher, je lui commande de se laisser aller. Pas de visite de Paris la nuit, elle n'en profiterait pas! Elle ne connaît pas la capitale, et ne pourrait même reconnaître Pigalle où je la fais descendre. Je lui enlève son casque et la promène ainsi. C'est un des rares quartiers où cela ne semble pas trop déranger. La vision est pourtant très forte. Je la tiens quand même par sa nuque pour la guider. Nous entrons dans un très grand sex shop qui fait aussi office de cinéma porno. Plusieurs hommes rentrent à notre suite dans le cinéma, se doutant que la soumise venait se faire offrir en pâture. Elle se met nue, sans que je sache si elle comprend où elle est. A genoux sur le fauteuil du premier rang, dos à l'écran, elle est penchée sur le dossier tandis qu'elle soulève et offfre ses fesses. Ses trois trous sont disponibles alors que j'ouvre la fermeture éclair. Aucun mot n'est nécessaire, les hommes se positionnent, regardent, font la queue. Je vérifie que ceux qui la prennent sont bien protégés, et pendant près de deux heures, malgré ses orifices déjà très endommagés, elle se fait défoncer par les trois trous. Je lui murmure qu'elle n'est qu'une poupée à défoncer, qu'aucun des mecs n'a de respect pour elle, qu'elle donne une image pathétique, que je me demande si elle serait baisable après, que la prochaine fois je l'emmène dans un chenil. A chaque nouvelle humiliation, je l'entends gémir, désespérée tout en jouissant d'être aussi stimulée. Personne ne regarde le film et la ...