1. Nuit Magique


    Datte: 12/01/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... briquet qu'elle regarde en panique. Elle sait ce qui va lui arriver sans pouvoir imaginer ce qu'elle va ressentir. Moi non plus je dois l'avouer, là je suis en terrain inconnu et je vais me guider à ses réactions. La flamme est intense et je l'approche du bout d'une aiguille, la chauffant de façon intense. Quelques secondes suffisent, elle gémit, m'implore, rue dans ses liens, et retombe dès la chaleur dissipée. C'est tellement excitant. Je recommence encore et encore, de plus en plus longtemps. Ses cris sont déchirants, son corps arc bouté. La dernière aiguille est rouge vif dans sa partie visible, l'odeur de brûlure épouvantable, ses gargouillis un cadeau pour moi. Je jouis de ses spasmes de souffrance.
    
    Enfin elle retombe, complètement épuisée. Il va falloir que je la libère. Les grandes aiguilles sont difficiles à enlever, comme soudées en elle, cela lui arrache des plaintes, des cris suraigus. Le sang ne coule pas, sans doute coagulé. Pour les petites c'est plus simple, mais là le sang s'en donne à cœur joie. Je sais qu'elle a peur du sang, aussi je lui montre comme ses mamelons sont ravagés. Libérée des pointes, elle respire mieux. Avant de la libérer des élastiques qui étranglent ses seins, je prends une canne. J'attache son cou en arrière, serrant fort pour stresser sa respiration et ne pas risquer de blesser son visage. Puis j'abats la canne sur un globe offert, puis l'autre, les marques sont immédiatement sanguinolentes. Je frappe le dessus, le dessous, le côté, ...
    ... jusqu' ce que ses seins soient deux masses en sang. Alors je descends sur le ventre, cette zone si sensible, si attirante aussi avec son coté dodu. Je frappe fort, très fort, plus fort que je ne l'ai jamais fait. Elle ne s'échappe pas. Je crois même percevoir qu'elle s'offre. Ses yeux sont fermés, elle râle, elle souffre tant.
    
    Les coups descendent et sur son pubis elle couine comme une truie, pourtant ne fait aucun mouvement de défense. Elle sait s'offrir, ce qui me permet de frapper terriblement fort, chaque marque est rouge, gonflée après quelques secondes. Je descends rapidement sur ses cuisses, une dizaine de marque profondes sur chacune d'elles. Il me faut maintenant parachever ces marques. Je prends un scalpel, et je le passe sur chacune en partant à nouveau des seins, provoquant systématiquement un saignement, une respiration qui se bloque tout le temps où le scalpel traverse ses chairs. Je m'affaire ainsi presque une heure, soulignant toutes les marques de souffrance qu'elle a pu recevoir.
    
    Julie pend sur ses attaches, l'animal sauvage est brisé, cette fois ci j'en suis certain. Tout comme je suis certain qu'il n'est pas question de s'arrêter là. En une heure ou deux elle aurait repris vigueur et tout serait à recommencer. C'est maintenant qu'il faut la travailler en profondeur. Moi je suis franchement épuisé. Je détache les élastiques. Les seins glacés prennent une forment bizarre, étalés sur son ventre, déformés par les supplices subis. Elle tombe sur moi quand ...
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