Nuit Magique
Datte: 12/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... psychologique sur la santé.
La peau est tendue à craquer, les aiguilles sont peu affutées, il faut appuyer fort, sentir la chair qui cède, c'est tellement jouissif à chaque fois. La tension dans le corps de Julie, soulagée chaque fois que l'aiguille rentre. Je les enfonce jusqu'à la tête colorée. Une dizaine en cercle tout autour du mamelon, d'un sein puis de l'autre. Je les masse pour que les chairs soient bien maltraitées, sentir Julie gémir. Pour la première fois je la touche, son sexe est ouvert, trempé, c'est une vraie masochiste. Je pince son clitoris, le fait sortir, elle halète. Je m'occuperai de son sexe plus tard, la position n'est pas très pratique. Je prends des photos pour ses souvenirs. Il me reste des petites aiguilles, mais je veux m'occuper de ses globes avec d'autres. Sa tête est baissée pour soulager la tension dans son nez étiré vers le bas par la laisse, qui pend entre ses seins suppliciées.
Ces yeux s'écarquillent à la vue des six aiguilles que je sors. Elles sont neuves, stérilisées et chirurgicales. Epaisses et très longues, elles sont menaçante. Je bande comme jamais, j'adore ces tortures, intimes, si proches de ma victime, pouvant partager avec elle ce plaisir. Julie mouille toujours autant malgré la peur et le stress de ce qu'elle va subir. J'appuie sur le peau tendue, bien au milieu de son obus. Je presse, la chair s'enfonce légèrement, puis cède, l'aiguille commence à rentrer. Elle retient son souffle, épouvantée de voir la progression ...
... inexorable, quoique difficile, je dois appuyer fort, traverser différents tissus. En tenant fermement son sein, je sens la progression, les ravages créés par cette intromission monstrueuse. Le parcours est long, peut être bien 15 centimètres pour traverser de part en part. Quand enfin l'aiguille sort, Julie expulse tout l'air bloqué dans ses poumons, dans un gémissement mélange de souffrance et de plaisir. Elle est secouée de spasmes, tandis que l'aiguille ressort largement. Elle sait qu'il y en a encore 5 et que chacune va ainsi la traverser, la blesser, la faire jouir de sa souffrance masochiste.
C'est un temps hors sol, nous sommes liés dans une torture extrême qui déforme ses seins, bouleverse ses chairs les plus intimes. Quand toutes sont rentrées, la vue est sauvage, d'une violence rare. Des rigoles de sang se sont formés, maculant son sein. Je me caresse à la regarder, je ne veux pas jouir, je perdrai une grande part de ma volonté de l'emmener là où elle n'est jamais allée. Son regard est brouillé, malgré le poids de la laisse, elle me regarde. Comme un défi je la caresse sur son clitoris, la faisant frémir, puis je lui murmure dans l'oreille ce qui va lui arriver ensuite, elle tremble et ne résiste pas, l'orgasme la fait hurler, avant qu'elle ne retombe comme inanimée.
Je me remplis de cette image, cette violence me vide un peu, il faut que je ralentisse, sinon je ne vais pas tenir moi! Mais pas encore le temps de faire une pause. J'approche de ma suppliciée avec une ...