1. BORDEAUX, LA VILLE DE MES PREMIÈRES FOIS (HISTOIRE VÉCUE)


    Datte: 11/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: Pascmich, Source: Hds

    ... ouvrir mes jambes mais, des siennes, il me bloquait, presque autoritaire. La douce pression qu’il exerçait alors sur mon anneau encore tout mouillé de sa salive eu raison de cette toute dernière barrière qu’il ne tarda pas à franchir. La citadelle tombait aux mains de l’envahisseur. C’était fait, je n’étais plus vierge ! Il n’eu pas vraiment de mal à me pénétrer. Mon cœur battait à tout rompre. Je me surpris à gémir… De plaisir ! Ressortant pour mieux se renfoncer, d’abord lentement, il me pilonnait de plus en plus profond. Le bruit d’une claque se faisait entendre à chaque fois qu’il revenait d’un coup en moi. Je m’abandonnais entièrement, sans restrictions aux assauts répétés de cet amant providentiel. Sous ses coups de boutoir, je me suis surpris plusieurs fois à la limite de la jouissance ; j’étais loin de m’imaginer que j’en tirerais autant de plaisir. Tout au fond de moi, je sentais son membre me frapper avec un indescriptible délice qui faisait monter des gémissements, à peine étouffés, dans ma gorge espérant que cet instant soit éternel. Il était la lame, moi le fourreau.
    
    Si on ne peut jouir sans orgasme, on peut avoir des orgasmes sans jouir ; je le découvrais, traversé par plusieurs vagues consécutives de plaisir, celui qui fait qu’on s’abandonne totalement. J’appréciais les chocs à répétition tout au fond de mon corps, conscient qu’il provenait du même sexe dont j’avais été pourvu à la naissance. Lui, toujours allongé sur moi, appuyé sur ses mains, accélérait la ...
    ... cadence comme pour mieux me défoncer, plus fort, plus loin… Ce sont ces quelques coups presque violents qui ont précédé son explosion. Un flot saccadé me submergea… Son sperme chaud me remplissait les entrailles. Quelques mouvements désordonnés plus tard, il se figeait. J’essayais de tendre désespérément les fesses vers lui, espérant encore plus.
    
    Nous sommes resté un instant emboîtés ainsi avant qu’il ne se retire à mon plus grand désespoir. De sentir son jus suinter entre mes fesses m’excitait. Je me caressais avec, dans la tête, le souvenir du moment passé. Il s’était mis sur le coté ; je venais me mettre en chien de fusil contre lui espérant désespérément qu’il me refasse l’amour mais ne devais plus me contenter que de ma propre main. J’arrivais rapidement à mes fins, et recueillais mon propre jus dans mes mains tandis que coulait encore le sien le long de mes cuisses.
    
    Je me sentais si bien, heureux d’avoir été ainsi possédé sans ressentir la honte légitime de cet acte que certains qualifient de « contre nature ». Le fantasme d’être un instant dans la peau d’une femme venait de se réaliser… Le tabou de la sodomie venait d’exploser en même temps que ma virginité anale. Je le quittais un peu plus tard et ne l’ai jamais revu…
    
    Je suis resté plusieurs jours sans pouvoir vraiment m’asseoir correctement ce qui me rappelait à chaque instant l’aventure que je venais de vivre.
    
    Aujourd’hui encore, je rêve de refaire l’amour avec un homme dans les mêmes conditions. Plutôt ...