1. BORDEAUX, LA VILLE DE MES PREMIÈRES FOIS (HISTOIRE VÉCUE)


    Datte: 11/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: Pascmich, Source: Hds

    En 85, j’étais en stage à Bordeaux pour une semaine. J’avais pris une chambre pour 5 jours dans un petit hôtel près de la gare. Je connaissais déjà le quartier pour m'y être arrêté plusieurs fois, profitant des correspondances de mes trains lorsque j'étais encore un jeune militaire et que je partais en permission. J'y avais découvert pour la première fois, le sexe shop. Au début des années 80, profitant d'une heure d'attente, je m'étais promené dans cette gare et y avait découvert un étrange ballet vers le fond de cette dernière :
    
    Là étaient situés des WC publiques, plutôt sales. Un homme y était entré et ressorti plusieurs fois, passant près de moi avec un regard insistant, troublant. Je me décidais alors à y aller, feignant une envie naturelle. Arrivé dans la place, des urinoirs malodorants juxaient deux portes de bois dont la peinture défraîchie et les graffitis indiquait l'endroit où ces messieurs pouvaient venir pour des envies plus "conséquentes". J'entreprenais alors un simulacre… Face au mur, ma braguette ouverte et le sexe à la main, je fis semblant d'uriner. L'homme entra. Il vint se placer non loin de moi et m'imita. Pendant les quelques minutes suivantes, je soupçonnais son regard et me reculais doucement pour qu'il puisse mieux voir. Il était tard, je savais que la gare était vide de monde et que l'on ne risquait guère d'être surpris. L'instant suivant, il entra dans le WC turque, la porte ne se referma pas complètement sur lui. Dans l'interstice, il ...
    ... pouvait voir mes nombreux coups d'œil. Me reprenant, je remontais ma braguette et décidais de sortir mais aussitôt revenu sur le quai, je regrettais et faisais demi tour pour revenir aux urinoirs. La porte de l'homme s'était fermée en entendant l'arrivé de quelqu'un! J'étais revenu au point de départ, face à ce mur que tant avaient arrosé, le sexe à nouveau entre les doigts. J'avais senti le porte s'ouvrir discrètement; je savais l'homme me surveiller; prenant mon courage à deux mains, j'entrais dans le cabinet qui était à coté du sien et commençais à me caresser doucement. Il y avait un trou dans la porte, sorte de Juda, par lequel je ne tardais pas à apercevoir un œil avide. Je me suis mis face à la porte... Il est entré refermant derrière lui. Il n'a pas parlé, s'est accroupi et m'a pris dans sa bouche. Il me suçais avidement pendant que je m'appuyais les deux mains sur le mur derrière lui, là où tant de rendez vous sont inscrits. Je me souviens encore de la panique, lorsqu'un autre homme est entré dans les toilettes et essayé d'ouvrir la porte que je bloquais avec mes fesses. Mon compagnon a, d'une voix grave, annoncé "Occupé!" On nous a répondu "désolé" mais un instant plus tard, on pouvait deviner l'œil de l'homme par le trou fait dans la porte. Je ne tardais pas à jouir, arrosant mon compagnon. Le plus discrètement possible, nous nous sommes rajusté dans cet espace exigu. Il essuyait encore les traces de mon jus sur lui, quand je sorti. Dans les urinoirs, à la place que ...
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