Caprice, orgueil et conséquences 1/2
Datte: 08/01/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Bichou, Source: Hds
... Mon amour, on peut voir, mais pas toucher. Ce soir, je te promets la fête, celle dont on se souvient longtemps.
- Coquin, tu me fais déjà mouiller et je vais devoir attendre.
- C’est ce qui excite le plus : le désir non assouvi, l’attente du plaisir. Mets un string que je puisse de temps à autre venir te caresser en guise d’apéritif. D’accord ?
- Ne serais-tu pas un peu pervers ? Je ferai selon ton désir. Tu pourras te rendre compte de mon supplice…
Nous nous embrassons langoureusement. Au bout de plusieurs minutes très chaudes, nous nous écartons l’un de l’autre, l’heure de départ ayant sonné.
Arrivés au lieu des festivités, mon mari est directement happé par les sponsors. Je lui glisse rapidement à l’oreille que j’ai un besoin urgent à satisfaire et je le rejoins dans quelques instants.
Dans les toilettes, j’en profite pour nettoyer un peu mon string toujours mouillé de nos effusions langoureuses, ce qui me prend un peu de temps.
Revenue dans la salle, la foule se presse, compacte, face à l’estrade où la présentation a commencé.
Le président du club présente chaque joueur qui, à l’appel de son nom, grimpe les marches pour venir saluer les supporters dans un bruit assourdissant où se mêlent les cris et les applaudissements.
Pour rejoindre mon mari, il va falloir fendre cette fourmilière.
Je m’élance donc, courageuse, bousculant quelque peu les participants si bien que je suis obligée de frôler ces corps d’hommes et de femmes. Ils s’empressent ...
... de me coller, de profiter de l’occasion pour me serrer, me caresser subrepticement voire me peloter les fesses. Gênée, je ne veux pas faire d’esclandre et ne dis rien mais n’en pense pas moins.
Je continue donc ma traversée (qui n’est pas une traversée du désert, bien au contraire !) et les mains sont toujours baladeuses et de plus en plus hardies. Bien que je rougisse, peu habituée à ce traitement, elles commencent à m’échauffer accentuant le désir généré par les propos et cajoleries de mon mari. Arrivée en vue de l’estrade, ne voyant pas mon mari, je stoppe ma progression laborieuse et libidineuse pour suivre la présentation, toujours bien serrée dans la foule.
Par derrière, une main insidieuse vient me caresser les fesses, puis se fait plus entreprenante. Surprise, je ne me retourne pas mais pense que j’ai un mari décidément très coquin. J’ignore comment il est parvenu juste derrière moi sans m’en rendre compte et me surprendre mais avec lui, rien n’est impossible.
Sa main descend jusqu’à la fente de ma robe, touche ma cuisse, caresse la peau nue et tendre, s’aventure entre les cuisses, suit la couture de mon string. Je sens sur mes fesses le sexe tendu de l’assaillant, je souris intérieurement et ne peut m’empêcher de réagir à ce contact en frottant mon postérieur sur cet appendice prometteur. Je m’échauffe de plus en plus, des papillons peuplent mon ventre et mon string n’est plus qu’un bout de tissu imbibé de ma mouille.
Je frémis sous le doux toucher, et me ...