La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1661)
Datte: 07/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... de plus en plus profond dans mon cul de putain, alors que cette Karaine me traitait de tous les noms d’oiseaux, comme raclure, petite merde, salope, putain, catin…
On ne me laissait pas souffler encore moins respirer… après cette prise de possession de mon cul, les deux hommes Dominants, chacun de leur côté m’emmenaient dans une autre pièce, qui, jusqu’à ce jour m’était inconnue. Elle était immense, à la lumière tamisée malgré les plafonds hauts, cette pièce qui n’était autre qu’un vaste donjon carré Bdsm ultra-équipé de tout ce qu’il y avait besoin pour soumettre, avilir, voire torturer de plaisirs et de douleurs. Il y avait donc là des instruments ignobles de tous côtés, des croix-st-André en grand nombres sur tout un pan de mur, de nombreux carcans et piloris, des chaines et des cordes pendants un peu partout, des dizaines de cages au sol et d’autres suspendues en grosse quantité, de nombreuses tables avec des godes et des plugs de toutes dimensions, des fouets et des cravaches, des pinces et des poids, et bien d’autres choses encore qui m’étaient inconnues… On aurait cru être dans un véritable et immense magasin spécialisé avec ce très grand nombre d’équipements Bdsm… Là, on m’ôtait ma cage de chasteté et on m’obligeait à rester en levrette.
- Cambre mieux que ça !, Tends ton cul, Offre-toi !, m’ordonnait Karl.
Je restais un long moment ainsi, ma nouille décagée et qui pouvait enfin s’exprimer à souhait ! Elle était en effet bandée à son paroxysme, pendant le ...
... temps nécessaire pour que les trois Dominants puissent s’occuper de la jeune soumise qui nous avait rejoint à quatre pattes sous les coups de cravache de la Domina. Un long moment se passait et lorsque je fus autorisé à me mettre à genoux face à cette femelle esclave, mon cœur chavirait. Elle était déjà suspendue en l’air, presque à la verticale, par des cordages, la maintenant parfaitement immobile, les jambes repliées, mollets contre cuisses arrières, talons sur ses fesses et maintenues ainsi écartelées. Ses mains étaient attachées derrière son dos, sa poitrine ligotée, des liens serrées pressaient ses seins, des pinces mordaient ses mamelons. Ses cheveux étaient ficelés par une corde lui maintenant la tête en arrière. Chose que je n’avais pas vu au premier regard et qui pourtant m’effrayait, ses lèvres intimes étaient tenues serrées par des pinces chirurgicales à bout rond. Ainsi sa chatte était tenue largement écartée et exhibait l’intérieur rosé de son sexe dégoulinant. Je regardais et admirais encore cette femelle lorsqu’un ordre à mon endroit, des plus surprenants, tombait.
- Fais ta pute !, m’ordonnait cette Karaine maintenant assise dans un large canapé.
J’étais quelque peu sonné par cet ordre abject et par cette commande avilissante… Abasourdi, il me fallait quelques secondes pour comprendre ce que cette ignoble femme attendait de moi. Je devinais qu’elle voulait me voir me déhancher, me trémousser devant eux, pour les aguicher, les émoustiller, les allumer et ...