La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1661)
Datte: 07/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode N°1657) -
Chapitre 47 : Un trio infernal -
Après de longues minutes encore, le Majordome m’emmenait dans les cachots du Château et m’enfermait, frustré de n'avoir été baisé, avec ce jeune mâle qu'il tenait en laisse, un dénommé juliensoumis ! … Dans ce cachot étroit, juliensoumis et moi étions assis à même le sol en face à face adossés, l’un et l’autre, à un mur opposé. Tous deux, étions là à nous observer en silence. Juliensoumis devait avoir à peu près mon âge, une trentaine d’années, son corps était parfaitement dessiné, sans doute devait-il être un bon sportif, car il avait de bons pectoraux et des abdominaux sculptés, une très belle musculature au niveau de ses bras et de ses cuisses ! Ni lui, ni moi, ne cherchions à dissimuler nos parties génitales. Nous avions replié nos jambes de telle sorte que nos talons soient en contact avec nos fessiers, tant le lieu était exigu, et gardions ainsi les cuisses écartées, laissant paraitre nos attributs masculins encagés, dévoilant ainsi nos intimités prisonnières au regard de l’autre. C’était la première fois que je croisais ici ce jeune soumis ? Venait-il d’intégrer le Cheptel du Maître ? Était-il simplement là pour un stage de dressage ? Allait-il rester parmi nous ? Je me gardais bien de lui poser toutes ces questions, ne sachant pas si nous avions le droit de nous parler ou non. Depuis quelques minutes déjà, mes yeux se ...
... portaient constamment et avec insistance sur son entrejambe.
Hypnotisé par cette partie de son corps, je m’appliquais à regarder son pubis parfaitement glabre, lisse, sa nouille gonflée et tuméfiée dans cet étui pénien, son scrotum bien souple et touchant presque le sol, m’empêchant d’entrapercevoir sa petite corolle flétrie. A vrai dire, il m’excitait… d’ailleurs un filet de mouille sortait de ma nouille et dégoulinait au sol. Il attisait et aiguisait mes désirs sexuels plus encore quand, me voyant le mater, il écartait un peu plus les cuisses et lorsque le pouce de son orteil droit entrait en contact avec celui de mon pied gauche, j’étais prêt à lui sauter dessus et lui dévorer la bouche… Il me souriait, un sourire beau et gentil, peut-être tendre, un sourire qui écoutait, qui prenait soin de la personne à laquelle il s’adressait, moi en l’occurrence, un sourire qui demandait si tout allait bien, si j’avais besoin de quelque chose. « Quelle salope ! » pensais-je… Sans doute devait-il penser la même chose de moi ! Je me sentais attiré par ce sexe, tel un papillon par la lumière, comme si je n’avais pas eu de relation physique depuis des semaines ! Et ça devenait presque insupportable… ma nouille ruisselante cognait contre les parois d’acier de cette satanée cage, mon cul palpitait comme s’il était affamé, comme s’il n’avait pas vu de bites depuis des lustres… Bref, je n’étais qu’une chienne en chaleur !… Et lui aussi apparemment !
Malheureusement ou heureusement, je ne ...