Souvenir de fac – partie 2 : entre le canapé et le lit - Histoires de Sexe

Souvenir de fac – partie 2 : entre le canapé et le lit

... en même temps. Delphine était heureuse. Mieux : elle prenait plaisir à ce que je l’embrasse ainsi et m’offrit elle-même de ses mains, ses seins en me disant :

- Tiens, tète-les !

J’étais fou amoureux de sa poitrine. Je voyais ses tétons grossir chaque fois que je les caressais et les titillai : Je bandais, je bandais grave et Delphine le savait ; et soudain, alors que je suçais encore la pointe de ses tétons, elle me repoussa en arrière dans le dossier du canapé en me disant :

- Attends !

Ses mains passèrent sur la bosse débridée de mon jean. J’étais aux anges. Je pensais mais je ne lui disais pas : « putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ! ». Je regardais Delphine faire de qu’elle savait faire avec perfection : extraire et exhiber mon sexe à la vue de tous, allez disons, seulement à ma vue et à la sienne uniquement. Dans ce moment-là, ni elle ni moi ne repensions à son copain, ce mec qui ne voulait pas la satisfaire dans ses ultimes besoins. Delphine extirpa mon sexe en fouillant dans mon slip après m’avoir fait baisser mon pantalon au-dessous des genoux. Je la regardais faire encore et encore : elle était belle, voluptueuse, exquise. Son corps glissait devant moi à mes genoux. Je me retrouvais face à elle, moi toujours assis dans le canapé, le sexe en érection et elle son visage devant moi, et moi imaginant déjà ce qu’elle pourrait ou allait me faire. Je laissais retomber ma tête en arrière dans le canapé en fermant les yeux et dans la minute qui suivit j’ai senti la langue et la bouche de Delphine qui remontait le long de mon sexe. C’était divin, exquis et j’étais encore aux anges. J’ouvris les yeux et je vis Delphine secouer sa langue délicatement de droite à gauche sur mon gland :

- C’est trop bon, lui-dis-je, prends moi tout entier !

A suivre…