1. Souvenir de fac – partie 2 : entre le canapé et le lit


    Datte: 06/01/2025, Catégories: Première fois Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds

    En terminant le précédent récit, je n’étais pas sûr d’en écrire la suite. Puis, j’ai vu l’encouragement d’Olga T et le nombre de vues. Il fallait aussi que je finisse ce que j’avais commencé : le récit de mon histoire avec Delphine.
    
    Delphine à vrai dire a été une de mes plus belles histoires d’amour, ou de cul si vous préférez. L’aventure n’a pas duré plus d’une année universitaire mais que de bons moments passés ensemble et tellement intenses aussi. Je vous raconte la suite ce cette histoire ? Allez : c’est cadeau ; mais attention, les âmes sensibles devront s’abstenir.
    
    Delphine et moi, nous étions donc assis dans le canapé devant la télé. J’étais venu pour déjeuner ; Delphine m’avait invité. Notre connivence cependant en décida autrement : très vite dans le canapé, nous nous regardions tous deux les yeux dans les yeux. Son regard en disait long sur ses attentes et le mien tout autant exprimait mes envies : embrasser Delphine, la prendre dans mes bras, et lui faire l’amour. Et sans m’y attendre ou plutôt en ayant été pris de court, Delphine s’enfourcha sur moi en s’asseyant à califourchon sur mes jambes. Très vite, elle souleva son petit pull noir au-dessus de sa tête ce qui dévoila sa poitrine encore cachée par un soutif mirobolant. La seule vue de ses seins me faisait bander comme un taureau. Delphine s’en aperçut et sans dire un mot je l’embrassai fougueusement avec la langue.
    
    Delphine m’attrapa le cou en passant ses bras derrière moi. Elle m’embrassait ...
    ... divinement bien qu’aujourd’hui encore je me souviens de ses baisers et de sa langue qui venait à la rencontre de la mienne pour s’enrouler et s’entortiller l’une autour de l’autre. Je bandais, je bandais et je bandais encore. Soudain, j’avais envie de dévoiler ses seins. Ces seins qui me faisaient rêver, bien que pas très gros, mais si doux et si jeunes et si frais. L’osmose de la vie. Le désir amplifié par la vue de ce qu’il y a de plus beaux chez une femme.
    
    Doucement, je passais mes mains derrière elle, derrière son dos. Je dégrafais son soutif mais comme j’étais un peu nerveux et que Delphine s’en rendit compte, elle passa elle aussi ses mains derrières elles et réussit là où je ne réussissais pas : dégrafer son soutif !
    
    Je me souviens encore de son geste et de ses paroles de ce moment-là :
    
    - C’est ça que tu veux ? dit-elle en levant le bras très haut, son soutif devant moi pour que je ne puisse pas l’attraper.
    
    - C’est toi que je veux ! lui dis-je presque férocement comme une bête affamée, en retour.
    
    Delphine s’offrait à moi et moi, en retour, je m’offrais à elle. J’aurais voulu que cet instant fût interminable pour qu’il dure tout la vie, tant tout cela était bon de vivre et de rire avec elle. J’embrassais ses seins avec gourmandise. Je passais ma bouche de l’un à l’autre puis de l’autre à l’un en lui disant qu’ils étaient trop bons. Je les malaxais, je les caressais, en ayant un dans chaque main puis les serrais l’un contre l’autre pour les embrasser tous les deux ...
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