1. « Josy » : La petite salope prise de force derrière le comptoir. Épisode 21


    Datte: 05/01/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... société.
    
    Si la soirée du concert s’était admirablement bien passée, vers deux heures du matin, alors qu’il ne restait pratiquement plus personne. Jean-Lou mon chéri était sorti rejoindre son jeune amant Francis, le fils du préfet, Gislaine la responsable de salle et Simon le cuistot étaient de rentrer à la maison depuis un long moment et Denis l’inspecteur du permis de conduire était venu chercher Françoise. Il ne restait à l’intérieur en ma compagnie que Monique la serveuse qui s’apprêtaient à raccompagner les deux jeunes extras, pris pour l’occasion. Ils allaient quitter l’établissement, lorsqu’une voiture pénétra dans la cour.
    
    Alain mon ancien amant, l’entrepreneur de mes travaux à l’étable et Christian G le fils de l’ancien maire en étaient descendus tous les deux, un peu éméchés. Ma serveuse me demanda si j’avais encore besoin d’elle : « Non Monique, vous pouvez y aller, je m’en occupe. » Connaissant ces deux hommes, je n’avais aucune raison d’avoir peur de rester seules avec eux. Ils étaient légèrement ivres mais qu’importe. L’horaire de fermeture étant dépassée, je descendis le rideau de fer et m’installai au bar et leur servit un verre de bière en restai en leur compagnie.
    
    Tout en buvant leur demi, Christian commença à élever la voix me reprochant de me présenter sur la liste concurrente à la sienne. Alain s’en mêla prétextant que je les trahissais, lui et son épouse alors qu’ils avaient fait des efforts financiers au sujet du chantier de réhabilitation de ...
    ... l’étable. Le ton monta très vite, il se doutait bien qu’avec l’aide que j’avais apportée aux associations que sa candidature n’était plus en mesure de remporter les élections. Christian se leva et vint me rejoindre derrière le comptoir. Il me plaqua contre le mur en me disant : « Je te conseille de te retirer de la liste de Patrice et de t’inscrire sur la nôtre. »
    
    Alain s’était levé également et nous avait rejoint, il me pelotait déjà ma poitrine, sans vergogne : « Et pourquoi le ferais-je ? Je sais que tu as voté contre la dérogation, tu n’as aucune parole. » Je ne sais pas pourquoi, je l’avais provoqué, mais le fils du maire qui me tenais toujours fortement, m’arracha ma robe d’un seul coup : « Qu’est-ce que vous foutez, Bon Dieu ? Criais-je. Alain pour calmer le jeu, répondit tranquillement et gentiment : « Tu m’as terriblement manquée ma petite salope, j’ai envie de te prendre là Maintenant ! »
    
    Si je n’avais pas peur de lui, je craignais beaucoup plus Christian qui semblait être bien saoul et plus menaçant. Pendant qu’Alain était doux dans ses gestes, ses mains étaient déjà sur mon entrejambe et ses doigts s’étaient insinués petit à petit sous ma petite culotte, tandis que le fils du maire me tenait fermement d’une main et de l’autre, me martyrisait les tétons de mes seins. Cela s’était passé tellement vite, qu’aujourd’hui j’ai des difficultés à remettre les faits chronologiquement.
    
    À ce moment-là, mon cerveau fonctionnait à deux mille à l’heure, je savais très ...
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