1. Gordon construit son état


    Datte: 03/01/2025, Catégories: fh, ffh, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, Oral pénétratio, Partouze / Groupe sf, aventure, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... pour la négociation.
    
    Mais, n’étant pas un mufle, j’accepte en lui demandant de s’installer et je retourne à la taverne pour prendre de quoi boire. Là, surprise, enfin pas tout à fait, je vois que Gamiel n’a pas perdu de temps et elle est sur les genoux de Gorgi et lui, il a déjà passé ses mains sous la chemise en lui caressant les seins que je sais très sensibles à la caresse. Devant leur sursaut :
    
    — Je vous en prie, ne vous dérangez pas, j’ai oublié de prendre quelque chose à boire pour la nuit.
    
    Mais devant le manque d’agressivité dans ma voix, Gorgi continue gaillardement l’exploration des laiteries réunies de Gamiel qui, elle, se concentre sur le massage de lalongeole qu’elle sent frémir sous la main.
    
    Rejoignant ma case, je constate que la reine est déjà dans ma couche, superbe dans son impudeur. Je pense que la nuit ne va pas être à la discussion politique, mais plutôt à l’érotisme polytechnique.
    
    — Viens vite, depuis le temps que j’attends ce moment, je suis impatiente.
    
    Mes vêtements s’envolent dans la chambre et, à poil, je viens la rejoindre et nous nous étreignons avec passion, ses lèvres délicieuses, posées sur ma bouche, sa langue agile joue avec la mienne. Mes mains curieuses s’attardent sur sa poitrine pour finir en effleurant l’intérieur de ses cuisses à la peau très douce, elle ouvre largement ses jambes me donnant accès à son puits d’amour affamé de mes caresses.
    
    Sans autre forme de procès, elle me saisi la bite et en apprécie la ...
    ... qualité.
    
    — Prends-moi, j’ai besoin de te sentir en moi et d’avoir ta jouissance qui fructifie mon minou.
    — Tu es sûr que ton fils ne me fera pas un mauvais sort.
    — Non, je l’ai affranchi que son père est d’accord, puisqu’il ne peut plus.
    
    Alors d’un geste solennel, je plante ma queue fructifère dans la conque royale. C’est tellement jouissif, encore meilleure qu’avec sa belle cousine, on sent qu’elle en veut et que cela fait longtemps qu’elle n’a plus été aimée par un homme, elle est vraiment affamée.
    
    On reste un long moment tout à fait immobile, juste avec son vagin qui me masse la queue, puis mon poids commence à lui peser et même si je n’ai pas les bras trop fatigués, je bascule sur le dos et, la tenant toujours étroitement, je lui permets de me chevaucher.
    
    Pour elle, c’est une illumination, il semblerait que la position de la cavalière n’est pas connue à la cour. Au début, un peu surprise, elle découvre les avantages de monter et commence une sarabande complètement débridée, à m’en dévisser les roubignoles. Quelques orgasmes plus tard, nous nous endormons, repus dans les bras l’un de l’autre, en ayant pris soin de tirer les rideaux et de fermer sérieusement la porte. Pas besoin de provoquer son fils, même s’il est gardé de nuit dans une cellule pour éviter qu’il ne s’évade et que je lui prête ma servante pour le tenir tranquille.
    
    Tard le lendemain, j’entends frapper à la porte, c’est Gamiel qui nous apporte de quoi se restaurer.
    
    — Alors finalement vous vous êtes ...
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