Gordon construit son état - Histoires de Sexe

Gordon construit son état

Résumé des épisodes précédents :

Alors que je survole le col séparant les deux royaumes, je suis surpris par une dizaine detarns qui semblent bien belliqueux. Je fais gorire Tamis et j’attends, au droit d’un rocher que les choses s’éclaircissent.

Rapidement les dix tarns se posent dans mes environs et surgit un homme bien musclé qui m’apostrophe :

— Voilà la fortune qui arrive,10 000 rahlis pour ta capture ! Et un beau tarn en prime. Ne m’oblige pas de te casser les reins pour te capturer.

— Je ne t’oblige à rien, même pas à me capturer, mais je ne te recommande de ne pas le faire, j’ai des lettres d’accréditation du roi de Tuor.
— J’en ai rien à faire, elles ne vont pas nous enrichir. Laisse-nous t’immobiliser et tu ne souffriras pas.
— Tu peux toujours essayer.

Il avance sûr de soi, pour me saisir et m’immobiliser, mais avant qu’il comprenne ce qui lui arrive, un gros coquard orne son œil droit et son postérieur frappe violemment le sol.

— Tu vois, il y a souvent une grosse différence entre le rêve et la réalité. Il y a un autre amateur ?

L’ensemble des pirates qui voulaient me capturer plient le genou en signe de soumission et me disent :

— Tu es notre chef maintenant, Gorgi n’a pas fait le poids, il y a aussi une récompense pour sa capture, tu pourrais en profiter.

Je me tourne vers celui que j’ai vaincu et lui demande ce qu’il en est. Alors que son œil droit est très enflé, probablement aveugle pour un moment, je constate que le gauche ...

... exprime la soumission.

— Tu as fait comment, jamais je n’avais été vaincu.
— Il y a un début à tout ! Pour ta gouverne, je suis le roi de l’arène, tant à Tibur qu’à Tuor. Tu es tombé sur un os, c’est dommage pour toi, mais si tu veux, tu peux me prêter allégeance et être mon second, je ne suis pas chasseur de primes.

Tibur s’étant comporté misérablement à mon égard, je vais le leur faire regretter.

J’enfouis mes lettres de créance pour le moment et je vais informer le roi Gavra que je ne pourrai tenir mon ambassade, vu le guet-apens dont je viens d’être l’objet avec pour ma capture, une récompense de 10 000 rahlis.

Nous nous envolons jusqu’à leur repère, où la plus grande case, celle du chef m’est cédée avec une jolie cuisinière servante et esclave sexuelle volontaire. Après avoir envoyé un messager à Gavra, je réunis toutes les troupes.

— Désormais, on va préparer soigneusement nos coups, mais interdiction de toucher à ce qui nous est indispensable : les paysans. Tout leur sera payé. Ce qui les changera des habitudes des militaires qui les pillent sans leur assurer de revenus. Par ce moyen, on va s’assurer de leur fidélité. On va vider le pays de son argent et de ses transports. Pour ça, il est nécessaire d’être renseigné. Il faut infiltrer le milieu marchand.

La prochaine caravane qui va dans le sens Tuor-Tibur, on l’arraisonne et un compagnon qui accepte de s’introduire, prend la place du chef du convoi.

Le lendemain, jour de chance, se pointe une caravane ...