1. La rencontre...


    Datte: 03/01/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... de cette position, tendue d’un côté, moulant à la perfection son sexe, bâillant de l’autre côté, offrant un peu de poil à mon regard. Je bandais dur.
    
    Quelques minutes plus tard, Ginette étira de nouveau ses jambes dans ma direction. Elle les écarta innocemment, me dévoilant sa culotte dans son entier. Elle s’en aperçut, me souriait, pencha la tête en arrière et embrassait son mari. Son expression visuelle semblait attendre l’accord de sa moitié pour s’offrir encore plus à mon regard intéressé.
    
    Surtout que je ne m’intéressais plus tout à fait à l’écran. J’attendais parce que j’étais sûr que cela aller venir. D’un moment à un autre, l’œil fixé sur les cuisses entrouvertes de la femme, sur cette lingerie que je percevais humide.
    
    L’ivresse de la situation m’excitait au plus haut point, mon sexe se trouvait à l’étroit. Je priais fort pour que Pierre me donne le feu vert pour consommer, pour entamer des caresses polissonnes sur ce corps si joliment exhibé. La décision lui appartenait, et je savais qu’elle allait venir.
    
    D’ailleurs il se mit à caresser les cheveux de sa femme, avant de la faire pivoter sur le dos pour disposer sa tête sur ses cuisses. Elle replia sa jambe gauche et écarta franchement ses cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser sa jupe vers son ventre, ainsi prête à subir l’intrusion de mains étrangères sur son corps frissonnant.
    
    Le message fut immédiatement compris, un simple regard vers moi, me montra son accord tacite pour qu’un moment ...
    ... sublime et inoubliable de tendresse, de caresses et de jouissance, arrive au plus vite.
    
    Pour mettre sa femme en confiance, il lui caressait délicatement le front de la main droite, et posait voluptueusement sa main gauche sur son ventre. Ne tenant plus je me levais et m’agenouillais entre les cuisses écartées de la femme. Ma main effleura doucement le grain de sa peau, sans se presser, ma bouche déposant de petits baisers sur toutes les parties frôlées. Ginette, allongée sur le dos, la tête sur les cuisses du mari, s’arc-boutait sous mes caresses.
    
    C’était surréaliste et tellement sensuel ! Le mari en profitait pour ôter sa chemise pour qu’elle puisse embrasser mon ventre.
    
    Pour mon compte j’arrivais doucement à l’intérieur des cuisses, là où la peau était si chatouilleuse. Ses sensations provoquèrent le ruissellement sans retenue de son vagin. J’embrassais son sexe couvert de coton, puis écartais les bords de cette lingerie excitante pour glisser ma langue sur sa chatte trempée.
    
    Quelques léchouilles plus tard, je glissais mes mains de part et d’autre de la jupe pour la faire glisser le long de ses jambes dénudées depuis le début du visionnage. Elle se souleva pour me faciliter la tâche, je faisais de même avec la culotte avant de plonger ma bouche entre ses cuisses, vers ce puits d’amour inondé. Sa toison châtain clair subissait l’assaut de ma langue et de mes doigts vicieux.
    
    Je la suçais, tétais, et caressais un long moment, offerte comme nous l’avait espéré le mari. ...