La rencontre...
Datte: 03/01/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Renifleur, Source: Hds
Le couple avait insisté pour m’attirer jusqu’à chez eux. Pour me faire découvrir les photos de leur dernière vacance. Dans un lieu que je connaissais très bien pour y avoir passé pas mal de vacance qu’on j’étais enfant.
Sitôt arrivé chez eux ils me mirent à l’aise. M’invitons à prendre place sur le divan. Après s’être absenté quelques instants Ginette, une femme d’une soixantaine d’années, dodue sans être vraiment grosse, mais néanmoins bien en chair. Elle possédait un visage rond, agréable, que ses cheveux mi-longs amincissaient quelque peu. Deux yeux bleus éclairaient son regard d’une lueur malicieuse. Un nez un peu fort aux narines palpitantes et une bouche aux lèvres minces donnaient à ce visage une forte sensualité. Avec quelques kilos de moins, Ginette aurait pu être une très belle femme.
De sa robe légère à manches courtes jaillissaient deux bras potelés, tandis que sa poitrine gonflait outrageusement le devant du vêtement. La femme devait utiliser un soutien-gorge de grande taille. Sa robe imprimée se plaquait étroitement sur des hanches larges, soulignant un ventre rebondi et une croupe incroyablement pulpeuse.
Donc Ginette revenait avec un plateau où était disposés verres et bouteilles. J’avais remarqué qu’elle s’était soulagée de son soutien-gorge, la coquine !
Avaient-ils préparé quelque chose de spéciale ?
Pierre, le maître de maison, et donc le mari de Ginette, chercha dans le meuble télé la fameuse cassette. Alors que Ginette prenait place. Dans ...
... le mouvement, la jupe de Ginette remonta un peu trop haut sur ses jambes. Ce qui provoqua mon regard vers elle, souriante de cet effet involontaire sur ma libido.
Son mari après avoir fourré la cassette dans le magnétoscope s’installait près de sa femme. Grâce à la télécommande il m’y en route le visionnage.
Mon regard s’intéressait alors plus à sa femme qu’à l’écran de télé. Surtout que sa jupe dévoilait le haut de ses jambes et sa culotte couleur chair provoquaient un climat de voyeurisme. Au bout d’une dizaine de minutes, Ginette étira un peu ses jambes vers la gauche, écartant légèrement ses cuisses, ce qui eut pour effet de tirer un peu plus sur sa jupe et de tendre un peu son haut.
Pierre continuait de commenté les images comme l’aurait fait un commentateur de foot. Mais sa voix devenait plus suave. Mon regard ne cessait de passer de l’écran de la télé aux cuisses de Ginette, priant que Pierre m’invite à venir déguster le fruit défendu de sa femme. Après une demi-heure de visionnage, je ne sais pourquoi le mari mis en pause. La posture de sa femme me paraissait encore plus osée. Comme moi, Pierre devait apercevoir la lisière de sa culotte.
Le mari continuait tout de même à m’exposé ses vacances, alors que Ginette se redressa, son slip bâilla un peu. Le mari fit de nouveau le plein des verres. Puis enclencha le visionnage. Cette fois Ginette enleva ses chaussures, replia ses jambes sur le canapé et appuya sa tête sur l’épaule de son mari. Sa culotte souffrait ...