Elle se laisse prendre
Datte: 03/01/2025,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extraoffre,
cocus,
copains,
vacances,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
totalsexe,
candaul,
Auteur: Honey_Lover, Source: Revebebe
... pas longtemps à la rejoindre dans les bras de Morphée, abandonnant son corps aux mains caressantes de José, tout heureux que je le laisse profiter seul de ce cadeau du ciel.
Le lendemain au réveil, nous étions tous les trois mal à l’aise, n’osant pas parler de ce qui s’était passé, évitant même de croiser le regard d’un des deux autres. Le malaise perdura durant tout le petit déjeuner pris avec les autres, jusqu’au retour dans la tente où, à nouveau seuls, il nous apparut évident qu’il fallait que l’un de nous mette les pieds dans le plat afin que nous puissions en parler.
Ce fut Angélique qui, s’approchant de moi en cherchant à ce que je la prenne dans mes bras, me dit :
— Je t’aime mon amour. Tu es fâché, tu ne m’aimes plus après ce qui s’est passé ?
Non, je n’étais pas fâché. Je n’étais pas à l’aise, ça, c’était sûr, mais je n’étais pas fâché. D’ailleurs, en y réfléchissant, j’avais aimé et apprécié tout ce qui était arrivé. Je la pris dans mes bras en la serrant très fort et :
— Je t’aime moi aussi, ma chérie. Non, je ne suis pas fâché mais je ne sais pas comment gérer ce qui s’est passé.
José sentit d’instinct qu’il était plus sage pour lui, de ne pas intervenir. Il savait que le malaise provenait du fait que nous nous aimions et qu’en principe je n’aurais pas dû permettre qu’il se passe quelque chose entre elle et lui. De même, Angélique aurait dû réagir en se rendant compte que c’était lui qui lui procurait du plaisir avec ses doigts, mais le ...
... contexte si particulier avait fait que personne n’était dans son état normal.
J’essayai de réfléchir à toute vitesse à ce qui s’était passé, à ce j’aurais dû faire ou ne pas faire, mais tout se bousculait dans ma tête et, finalement, me rendant à l’évidence, je finis par leur dire :
— De toute manière, quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, c’est fait maintenant. On ne pourra jamais rien y changer et il faudra bien qu’on vive avec. Ça ne sert à rien de faire l’autruche, moi j’ai adoré te voir et t’entendre jouir en faisant l’amour avec José. Je suis sûr que pour José ça sera le meilleur souvenir qu’il emportera avec lui en métropole. Il ne reste qu’à savoir pour toi, ma chérie.
Après un court silence. Angélique prit la parole et :
— Moi, je t’aime mon amour. Je suis prête à faire tout ce que tu me demanderas… y compris me donner à un autre si ça te fait plaisir. Pour hier, j’ai adoré… c’était géant.
Rajoutant immédiatement :
— Si tu veux, pendant tout le reste des vacances, je veux bien devenir votre petite salope à tous les deux et ensuite, on oubliera tout ça.
À ces mots, José chercha à accrocher mon regard, les yeux pleins d’espoir. Je ne savais trop que penser ni trop quoi dire… C’était déjà beaucoup d’émotion et on était passé pas loin de la cata. Je restais évasif :
— On verra… Laissons faire le destin !
Le voyage reprit. Nous étions bien ensemble. Le malaise avait disparu. Nous agissions de nouveau comme avant, comme s’il ne s’était rien passé, riant de ...