1. Elle se laisse prendre


    Datte: 03/01/2025, Catégories: fhh, jeunes, extraoffre, cocus, copains, vacances, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe totalsexe, candaul, Auteur: Honey_Lover, Source: Revebebe

    ... avec nous.
    
    Le 1er soir, il ne se passa rien. Crevés par la route, après un repas passé autour du feu de camp avec les autres, on s’endormit comme des souches. Ce fut le lendemain que la situation commença à se compliquer car notre envie de faire l’amour se faisait de plus en plus sentir. Le moindre contact avec son corps me donnait des bouffées de chaleur au niveau de la ceinture, si vous voyez ce que je veux dire… Impossible de s’arrêter et d’abandonner la caravane pour faire ce qui nous manquait de plus en plus.
    
    Le soir, après le repas pris ensemble, on s’empressa de regagner notre tente, mais José, mort de fatigue, nous emboîta le pas. Impossible de faire l’amour devant lui, il nous fallait attendre qu’il s’endorme aussi. Angélique se mit à me branler aussi discrètement que possible à l’intérieur de notre duvet deux places. Je faisais de même en lui triturant le bouton. Au bout d’un moment, Angélique n’en pouvant plus me demanda de la prendre. À bout moi aussi, j’obtempérais volontiers mais pour prendre place entre ses jambes, nous dûmes ouvrir complètement notre couchage ce qui lui permit d’écarter largement ses cuisses en posant l’une d’elles sur notre ami endormi. En deux secondes, je m’enfonçai en elle, lui arrachant à chacun de mes coups de reins des petits cris qu’elle essayait d’étouffer en se mordant la paume de la main.
    
    J’étais arc-bouté au-dessus d’Angélique, nos ventres ne se touchaient pratiquement pas, soudés l’un à l’autre par nos sexes et nos ...
    ... pubis. J’avais le plus grand mal à me retenir de gémir tant les sensations dans ce ventre accueillant étaient fortes. Il fallait que je change de position pour ne pas jouir trop vite. Je me retirai en demandant à Angélique de se retourner pour que je puisse la pénétrer en levrette, ce petit subterfuge me permit de faire retomber la tension en profitant du temps nécessaire pour qu’elle se retourne et se mette à quatre pattes afin de m’offrir son adorable fessier. J’adorais la prendre ainsi, mes deux mains solidement accrochées à ses hanches, ses belles fesses bien en évidence et j’en profitais toujours pour lui ouvrir l’anus avec mes doigts, chose qu’elle adora dès mes premières approches.
    
    Tout à mes sensations, les yeux fermés, j’entendis ma copine murmurer :
    
    — Oh, ouiiiiii ! Caresse-moi le clito en même temps. Tu vas me faire jouir.
    
    Je sursautai à ces mots car, la tenant aux hanches, ça ne pouvait être moi. Je baissai les yeux pour m’apercevoir qu’un bras s’était faufilé sous son ventre, lui donnant ce plaisir qu’elle appréciait tant.
    
    José était en train de la branler. Il devait bien s’y prendre car Angélique avait de plus en plus de mal à étouffer ses gémissements.
    
    — Je vais jouir. Branle-moi encore. T’arrête pas mon amour.
    
    La tête et la queue en feu, incapable de réfléchir, je laissai mon ami poursuivre son œuvre, jusqu’à ce que quelques secondes plus tard :
    
    — Oh, ouiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiis. Ouiiiiiii !!!
    
    Angélique explosait littéralement. Alertant ...
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