Elle se laisse prendre
Datte: 03/01/2025,
Catégories:
fhh,
jeunes,
extraoffre,
cocus,
copains,
vacances,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
totalsexe,
candaul,
Auteur: Honey_Lover, Source: Revebebe
... certainement les copains des autres tentes de sa jouissance.
Elle se laissa alors choir en avant, la poitrine contre le matelas, le cul en l’air avec ma queue toujours profondément enfoncée dans sa petite chatte. José en profita pour dégager son bras, cherchant dans la pénombre mon regard en quête du plaisir suprême.
Je la secouai sans ménagement tandis qu’elle récupérait doucement de sa puissante jouissance, tant et si bien qu’en quelques allers et retours, j’explosai à mon tour en silence, histoire de ne pas en rajouter pour les copains d’à côté.
Je me dégageai rapidement pour me laisser retomber à ses côtés.
— Tu m’as fait jouir fort mon amour en me caressant le bouton en même temps.
Je n’hésitai que quelques secondes avant de lui dire :
— Ce n’est pas moi qui t’ai caressée, ma chérie. C’est José.
— Je sais mon amour, je sais qui m’a caressée. Je voulais que tu saches ce qu’il était en train de me faire et s’il fallait que je le laisse continuer.
— T’as eu ta réponse ?
— C’était clair, et ce qui est clair aussi c’est que t’es qu’un sale gros vicieux, mais j’aime çà et c’est pour ça que je l’ai laissé me faire jouir… d’autant qu’il s’y prenait drôlement bien, le salaud.
Angélique, au lieu de se retourner pour s’allonger à mes côtés, était restée en levrette, les fesses surélevées comme dans l’attente de quelque chose.
Je lui soufflai à l’oreille :
— Il t’a bien fait jouir mais il n’a pas joui, lui. Tu veux bien ?
— C’est toi qui décides, mon ...
... amour. Je suis ta petite salope maintenant.
José qui n’avait pas perdu une miette de ce que nous disions n’attendait que ça pour se redresser et se placer derrière ma chérie. Il n’aurait pas beaucoup d’occasions de faire l’amour à une aussi jolie fille qu’Angélique.
Je le laissai faire, sachant parfaitement qu’il s’apprêtait à glisser sa queue dans la chatte de mon amour. Bizarrement, malgré l’inévitable petite pointe de jalousie, l’excitation de la situation l’emporta sur tout le reste. Je demandai à Angélique :
— Raconte-moi !
— Oui, mon amour. Il vient de poser sa queue devant ma petite chatte. Il a posé ses deux mains sur mon dos. Il me caresse les reins, le dos. Il m’empoigne maintenant aux hanches. Il va me prendre mon amour. Oh ouiiiiiiiiiii, il commence à s’enfoncer dans mon ventre. C’est bon, mon amour, c’est trop bon. Ça t’excite, hein ! Mon chéri, dis-le-moi ! Oui. Dis-moi tout. Dis-moi si tu aimes. Oui, mon amour. Aaaaaahhhh ! J’aime ça ! Il est en moi maintenant. Je sens sa queue qui m’ouvre le ventre. Il est gros, tu sais. Ça me fait un peu mal mais j’aime ça. Ouaaaaaah ! Putain, qu’il est gros !
— Si gros que ça ?
— Ouaaaaaaahh ! Énorme ! Oh, doucement, José, doucement, t’es trop gros.
José ne prononçait aucun mot, aucun son ne sortait de sa bouche. Il avait les yeux fermés et les mains posées sur les hanches de ma chérie. L’effleurant à peine, il était concentré sur les sensations en provenance de son sexe caressé par les parois vaginales.
— ...