Chalet 2 - Histoires de Sexe

Chalet 2

... putain » et » super », ce serait parfait, mais ce n’est qu’un détail. Disant cela elle s’est déjà à demi levée et cherche à repositionner mon sexe pour y empaler son anus. Quand je relance la vidéo, elle tressaute sur moi tout en massacrant son clitoris comme une folle, l’autre main en coupe soutenant un sein en pinçant le téton. Elle jouit de nouveau bruyamment. Au troisième plan, à peine calmée, elle s’écrie :

— Regarde, regarde comme je jouis, regarde la torture du plaisir sur mon visage… Tu vois, là j’étais persuadée que tu allais éjaculer en moi et puis que tu filmerais ton sperme sortant de mon cul en gros plan. Oh, ce serait super. Faut le faire chéri, faut le faire. Là, maintenant, prends la caméra.
— Mais, ça va pas être raccord… Pas la même pièce, pas le même éclairage…
— On s’en fout. En gros plan ça ne se verra pas. Mais moi je veux le voir, là maintenant, tout de suite.

Je me lève pour aller chercher le caméscope, elle m’attend en position, à quatre pattes, prête à en reprendre un tour. Heureusement qu’entre le premier tournage et maintenant il s’est écoulé plusieurs heures pour recharger les batteries. Je fais donc comme elle le souhaite, mieux je branche le caméscope en direct sur le vidéoprojecteur et elle peut profiter du spectacle « en direct live ». Ça la rend absolument folle et elle se met à hurler et à jouir en orgasmes multiples jusqu’à ce qu’enfin je me libère en elle, sorte doucement de sa petite voie bien dilatée qui se referme lentement. ...

... Je recale mon cadrage et ajoute une lampe de bureau latérale en lui disant :

— Allez, vas-y maintenant, relâche-toi et pousse doucement.

Le liquide nacré dans un premier temps sort de son anus béant par petites gouttes successives qui coulent en un mince filet sur sa vulve, ses poils dorés, sa chatte entrouverte. Puis le flot s’accentue et change de couleur, devenant plus « café au lait ». La lampe latérale donne relief et brillance, et elle ne cesse de s’exclamer :

— Rhooo super ! Super chéri, c’est splendide.

Quand tout est terminé et qu’elle s’est essuyée, je lui demande :

— Bon, ce n’est pas tout ça mais qu’est-ce qu’on en fait maintenant ? Tu veux une copie ?
— Quoi, hurle-t-elle ? Mais non, tu vas effacer ça tout de suite. Je voulais juste voir, nous voir de l’extérieur. Et je te surveille parce que tu serais bien capable de coller ça sur Internet…
— Mais tu sais bien que non, je suis sur le film aussi. Ah, mais remarque, je pourrais ne garder que les séquences où on te voit et faire un blog : « La reine des salopes », « Queen of whores » en anglais, pas mal non ?
— Je suis peut-être la reine des salopes, des vicieuses et des perverses, répond-elle en me donnant des tapes sur l’épaule, mais j’assume, j’aime ça, j’aime faire l’amour, j’aime que tu me baises, j’aime que tu m’encules, j’aime que tu me fasses jouir, na, voilà !

Elle complète sa déclaration par un long et tendre baiser.

— Merci de m’accorder tous mes caprices.
— Mais, tout le plaisir ...