La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1642)
Datte: 01/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... un long jet sur ma langue et dans ma bouche, dégoulinant jusqu’au fond de ma gorge. J’ouvrais grand la bouche pour récupérer tout ce liquide salé, goûter jusqu’à la dernière éclaboussure de sa pisse. L’humiliation avait un goût fort et amer, quelque chose de bouleversant qui faisait battre mon cœur et me remuait les tripes. Durant les longues secondes où cette perverse cuisinière me pissait dans la bouche, j’étais comme en transe, je voyais mon passé et mon avenir comme deux parts d’une même logique, une trajectoire menant impitoyablement vers l’humiliation et l’esclavage. A chaque jour qui passait, avec ces quotidiens entrainements, je glissais logiquement et de plus en plus vite vers la résignation, et l’addiction à la déprave. Durant que la sadique cuisinière pissait, de sa main perverse, elle me cravachait des couilles par des petits tapotements me provoquant une douleur à la limite du supportable. Je comprenais qu’elle ménageait l’intensité des coups sur mes burnes afin que je ne bouge pas ma bouche de douleurs par exemple afin de bien avaler son urine... Madame Marie finissant de pisser se redressait pour libérer mon visage, elle se retournait et me dévisageait, son regard méchant m’hypnotisait, m’enfonçant plus profond encore dans cette spirale d’excitation et d’angoisse qui me poussait vers la déchéance. Son vicieux rictus lubrique et libidineux me faisait penser qu’elle n’en avait ...
... pas terminé avec moi.
- J’ai un petit cadeau de la part du Maître, dédié pour toi seulement, juste pour te récompenser et t’encourager !... A genoux, la salope..., m’exigeait la Cuisinière.
Je la voyais s’éloigner quelque peu, puis plonger sa main dans un panier souple, comme un sac à provision. Elle en sortait une bouteille en verre, dans laquelle il y avait un liquide blanchâtre…
- Ce matin au Château, il y a eu la traite des bâtards mâles, certains d’entre eux n’avaient pas giclé depuis des jours et des jours… Normal, ils ont eu ce qu’ils méritaient, ces sales bâtards ! (elle souriait encore sadiquement). Mais Monsieur le Marquis dans Sa grande bonté a décidé que ce matin, se serait la vidange des burnes pour tous Ses chiens…Alors on leur a bien vidé leurs burnes, on leur a même asséché les couilles, certains ont giclés tant et plus… et regarde le résultat salope… presque le quart d’une bouteille de foutre… rien que pour toi…. Je vais te gaver comme une oie, rajoutait-elle sur un ton d’une excessive perversité…
Madame Marie débouchait la bouteille, posait le goulot de celle-ci sur mes lèvres entrouvertes.
- Si tu en fais tomber seulement une goutte, je t’assure que tu n’auras plus de couilles avant que je ne reparte…, dit-elle, en levant sa cravache en l’air comme pour me menacer qu’elle n’hésiterait pas à me les frapper fort et sans ménagement, cette fois…
(A suivre…)