La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1642)
Datte: 01/01/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... moi, de mon visage, soulevait sa jupe ample, écartait les cuisses. La cuisinière ne portait aucun sous-vêtement, son sexe rasé à la perfection luisait près de mon visage, visiblement très excité par mon humiliation.
- Viens renifler, la chienne, sale putain que tu es, je veux entendre tes reniflements, viens mettre ta truffe au plus près de ma vulve, sans pour autant la toucher, aller maintenant !…
Je ne bougeais pas durant quelques secondes, non pas que j’hésitais, mais juste le temps de porter mon regard sur son bas-ventre et de viser le bon endroit pour y approcher mon visage. Mais quelques secondes, avec cette sadique femme, c’est déjà trop de temps, alors une fulgurante paire de gifles fusait sur mes joues, sans même d’avoir le temps de réagir. J’en étais déstabilisé à presque en être renversé, je repris au plus vite la position pré-gifles, sans broncher.
- Alors, c’est pour aujourd’hui ou pour demain, la putain, j’ai dit maintenant !, dit-elle en attrapant une cravache à portée de sa main
Je m’approchais donc au plus vite et j’aspirais alors bruyamment par le nez, je flairais, humais comme un animal aurait pu le faire, tandis que Markus et Rémy, bras croisés me regardaient, me toisaient, m’épiaient même, cherchant peut-être une faiblesse de ma part pour me corriger ou me sanctionner sévèrement. Hélas pour eux, je m’appliquais allant même jusqu’à tortiller du cul, comme ça... sans raison, je balançais mes hanches de bas en haut, de droite à gauche, faisais ...
... rouler mon bassin d’une manière irraisonnée, machinalement, instinctivement, comme par habitude devant un sexe… qu’il soit masculin ou féminin ! La cuisinière passait lentement un doigt le long de ses lèvres intimes, y récoltant la sève avant de se pencher vers moi, et de déposer ce doigt sur ma bouche, tout en me fixant dans les yeux. Je n’avais aucun doute sur ce qu’elle attendait de moi. J’ouvrais les lèvres, et suçais ses fluides, laissant son regard sévère me pénétrer jusqu’à l’âme tandis que sa mouille me coulait dans la gorge.
- A quand même, tu en as mis du temps, sale pute, maintenant allonge-toi sur le dos, m’ordonnait-elle en ôtant son doigt de ma bouche.
Sitôt allongé, Madame Marie m’enjambait et s’accroupissait au-dessus de mon visage. Son sexe était à présent à quelques centimètres à peine de mes lèvres, je discernais son ouverture, ses lèvres rougeâtres et luisantes, son clitoris bandé. Elle s’abaissait peu à peu jusqu’à m’effleurer la bouche. Je devançais ses ordres, tirais la langue pour gouter à ce sexe, mais une violente gifle de sa cravache sur ma nouille et mes couilles m’arrachait un hurlement.
- Non ! hurlait-elle. Toi, tu n’es qu’une sale chienne, me brouter se mérite…
Je me demandais alors pourquoi elle s’était accroupie au-dessus de mon visage, si ça n’était pas pour que je lèche. La réponse ne se faisait pas attendre, elle positionnait deux doigts autour de ses lèvres intimes, pressait pour bien les écarter, puis son urine tiède tombait en ...