1. Professeures Bizutées - 5/8


    Datte: 01/01/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... Finalement elle fut ouverte mais pas par son mari!
    
    - Amélie! Mais que... que fais-tu là... tu es complètement à poil, dans la rue, s'étonna Nicolas, le meilleur ami de son mari.
    
    Elle tenta de le pousser pour entrer se cacher mais il résista et la laissa encore sur le seuil. Elle ne vit pas que derrière elle, deux hommes de la propriété d'en face appréciaient la spectacle du gros cul d'Amélie. Finalement, elle se retrouva dans son séjour, toujours à poil, devant son mari et deux de ses copains, Nicolas et Louis.
    
    - Vous voyez, les gars, je vous l'avais dit, elle se promène à poil maintenant, cette salope. Reste comme tu es, ordonna Gabriel, sers donc à boire à mes amis et rapidement!
    
    Comme elle restait immobile de surprise, elle reçut une grande claque sur sa fesse gauche accompagnée d'un « rapidement ». Elle leur servit du whisky tout en entendant leurs paroles salaces.
    
    - Amélie, penche-toi en avant quand tu présentes le verre à ton invité... plus que ça, ordonna Gabriel. Il doit voir tes nichons qui pendent. Et moi, derrière, je dois voir ton gros cul.
    
    - J'ai toujours rêvé de te défoncer, dit Nicolas. Tu veux bien que je t'encule, Amélie? J'ai une grosse bite, tu vas bien la sentir passer. Pose tes mains sur l'accoudoir du fauteuil de Louis. Suce-le... Bien... Gabriel, va me chercher du beurre, ça lui fera moins mal.
    
    - T'es pas bien, répondit le mari, on va pas gâcher du beurre pour cette salope. Introduis-la à sec.
    
    Amélie, la bouche pleine, grommela ...
    ... un refus bien inutile. Deux mains empoignèrent ses hanches, un pieu se plaça au bord du trou et, par allers-retours, par entrées-sorties, s'enfonça profondément. Une fois passée l'horrible douleur de l'intromission, le corps s'adapta et bon gré mal gré, elle ressentit du plaisir. Les deux hommes éjaculèrent en même temps.
    
    La soirée fut longue. Amélie dut leur servir le repas, nue. Elle mangea à même le sol lorsqu'ils lui jetaient un morceau de viande ou quelques haricots verts. A quatre pattes, elle devait se presser vers la nourriture. Elle fut reprise deux fois dans l'anus et une fois dans la chatte. Sa bouche nettoya toutes les queues. Enfin, Gabriel finit pas l'attacher au radiateur du séjour pour l'y laisser toute la nuit.
    
    Désormais, lui, le faible, le lâche, était devenu le maître. Il en avait éprouvé une incommensurable excitation et comptait bien user de son pouvoir, en abuser même. Il commença dès le petit matin en jetant du pain sec à sa compagne, en déposant un bol de lait froid avec l'ordre de ne jamais utiliser les mains : "les chiennes n'ont pas de mains" déclara-t-il.
    
    MERCREDI
    
    /JULIE /SES PARENTS
    
    Au soir, peu après son retour du lycée, on frappa à la porte de son appartement. Par l'œilleton, elle vit avec affolement ses parents patienter dans le couloir. Elle ne pouvait pas les recevoir dans sa tenue de honte, ils auraient tout de suite remarqué la mini-jupe, les bas et le gilet trop petit. Aussi, se déshabilla-t-elle rapidement pour se couvrir ...
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