Professeures Bizutées - 5/8
Datte: 01/01/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... DORON maintenant, dit-il en se relevant pour se vêtir.
La pauvre blonde s'occupa de l'autre. Son membre était plus fin mais plus puant. Elle eut envie de vomir.
- Dépêche-toi conasse, j'ai du boulot.
Sans ménagement, il colla la poitrine d'Elisabeth sur la table. Il retira son majeur et introduisit aussitôt deux doigts, puis un troisième. Elle n'avait jamais connu telle pénétration, telle humiliation. Heureusement l'homme fut rapide au grand dégout de Julie.
Elles se retrouvèrent seules dans la salle des professeurs, rouges, haletantes, honteuses, furieuses.
MARDI
AMELIE /GABRIEL /NICOLAS /LOUIS
Les révélations de Thomas sur le comportement d'Amélie avaient décoincé Gabriel. Lui, qui auparavant voyait son épouse telle une vierge, n'avait pas du tout apprécié qu'elle omît de révéler ses enculades ainsi que ses relations d'avant leur mariage. Le sentiment qu'elle devait payer une faute avait pris le pas sur la raison et lui autorisait tous débords de ses fantasmes.
Jeudi dernier, en fin de journée, Gabriel avait vu sa femme rentrer entièrement nue. Furieuse et honteuse, elle l'avait traité de faible, de poule mouillée, de lâche sans s'apercevoir qu'il bandait comme un ours. Le lendemain, vendredi, même punition, même reproches, même érection.
Ce samedi dernier, pour la première fois, il l'avait sodomisée. Elle avait bien tenté de s'opposer mais il l'avait méchamment rabrouée, arguant de ses péchés antérieurs. Alors, résignée, elle s'était laissée ...
... faire ce qui fit penser à Gabriel que Thomas avait bien raison : "tu profites de son cul et de sa bouche comme jamais. Tu verras, elle finira par quémander une pipe tous les jours."
Les pavillons, parfaitement alignés de part et d'autre, éloignés d'une dizaine de mètres de la chaussée, laissaient filtrer de la lumière dans le soir tombant. Lorsqu'elle arriva devant chez elle, il y avait déjà quatre véhicules garés et plus encore de l'autre côté de la rue. Jusqu'à ce jour, elle avait l'impression que personne ne l'avait encore vue rentrer nue. Mais cela arriverait forcément un jour. Aussi avait-elle prévu en ce cas de dénoncer les agissements mauvais de son mari en espérant que le voisin dénoncerait les faits à la police.
Elle fit plusieurs fois le tour du quartier. Rien ne bougeait. Aucune place ne se libérait. Elle pensa téléphoner à son mari et lui demander de laisser vide le garage mais ses bizuteurs qui avaient interdit cette option l'auraient certainement appris, elle ne savait pas comment, mais ils l'auraient appris.
Après d'anxieuses minutes d'hésitation, elle finit par se garer à la première place libre à une bonne vingtaine de mètre de sa maison puis à ôter son manteau, à ouvrir la porte, à se précipiter vers l'abri conjugal. Essoufflée, tremblante, elle n'arriva pas à entrer sa clé dans la serrure et finit par comprendre que son mari avait laissé la sienne de l'autre côté. Elle se résolut à sonner et comme rien ne bougeait à tambouriner la porte de ses poings. ...