1. Les malheurs de Clotilde Ch. 17


    Datte: 29/12/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... potentiel...
    
    - Ne t'en fais pas, je vais bien exploiter son potentiel.
    
    Dès que Boris est sorti il regarde sa fille :
    
    - Mets-toi à plat ventre sur le lit, je vais t'enculer. Mais je ne prends pas de pilule pour durer, là, c'est juste pour le fun.
    
    Emma ne dit rien, se contentant de prendre la position demandée. Écartant ses fesses à l'aide de ses mains pour facilité ce viol anal qui s'annonce. Elle pleure et grogne de douleur tout le temps où son père l'encule. Au moins, cette fois-ci, elle peut exprimer réellement ce qu'elle ressent. Pas la peine de simuler.
    
    Ninon :
    
    Ninon ne sait pas pendant combien d'heures l'équipage l'a violée si sauvagement. Elle a morflée, ils ne l'ont prise que par trois à la fois. Occupant chacun de ses trous, chaque membre la prenant plusieurs fois. Quand enfin ils l'ont laissée, elle n'est plus que douleur. Mais cette fois, après eux, ils la laissent enfin se reposer. Ninon s'est alors plus évanouit qu'endormit.
    
    Quand elle se réveille, elle est toujours dans la cale. La belle prof ne connaît pas la durée de son repos, mais vu que ses douleurs sont aussi vivante qu'avant d'être laissée tranquille, elle pense que c'est peu de temps. D'ailleurs elle sent encore le sperme qu'elle a reçu s'écouler de ses orifices forcés...
    
    Les dix jours suivants se déroulent de la même façon, viols par ses quatre kidnappeurs, puis viols par l'équipage, puis un peu de repos. Puis de nouveau les kidnappeurs, puis encore l'équipage, puis enfin du ...
    ... repos. Et ainsi de suite, sans qu'elle enlève le masque qui lui enlève la vue. Sans jamais voir un de ses violeurs, les subissant sans fin. Jusque à ce qu'enfin, on lui dise qu'elle est arrivée et qu'une aiguille ne se glisse dans son bras. Quelques minutes plus tard, droguée, elle s'évanouira.
    
    Moi :
    
    Quand l'américain entre, Géraldine se lève et commence à déboutonner son blouse d'infirmière. C'est comme cela maintenant. Chaque fois qu'un homme entre, elle doit se mettre nue. Ils pourraient la laisser sans vêtement, vu le nombre de viols qu'elle subit chaque jour. Mais non, après les avoir remercier de l'avoir profanée, elle se rhabille. Puis se déshabille à chaque homme qui la visite. C'est plus humiliant comme cela. Devoir se mettre nue pour se faire ensuite violer en simulant le plaisir...
    
    Mais cette fois, il y a du changement :
    
    - Reste habillée pour l'instant.
    
    Géraldine ne dit rien, se contentant de se remettre assis, sans reboutonner les deux boutons qu'elle a défait. Mais cette fois c'est moi qui suis horrifiée, je ne peux m'empêcher de pousser une longue plainte tout en m'urinant dessus. Ce n'est pas possible, mon cauchemar, mon enfer ne peut pas recommencer.
    
    Greg, Jérôme et Meyer viennent d'entrer à la suite de l'américain. Ils me regardent d'un air lubrique, je ne me fais aucun doute sur ce qui m'attend. Je suis tentée de les supplier, mais je me retiens, je ne me rappelle que trop le traitement qu'ils me réservent si ce que je fais ne leurs plaît pas. ...
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