Les malheurs de Clotilde Ch. 17
Datte: 29/12/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... Elle ressent honte, peur, dégoût, mais elle n'a plus de révolte en elle. Les assauts sauvage des quatre brutes ont brisé sa fierté, sa résistance. Elle va se laisser faire, la belle prof ne veut plus avoir mal inutilement, les viols sont largement suffisant. C'est ainsi, comme cela doit être.
Ninon a été traitée en salope, en pute, en morceau de viande. En jouet sexuel. Et elle l'est encore, mais cette fois ils le font de vive voix, tout en continuant à la malmener, à la violer. Lorsque elle reste sans réaction sous les coups de bites qui l'accablent, par tous ses trous, ils la mordent, la pincent, lui donnent des coups. Là où le corps humain et notamment, plus particulièrement même, celui de la femme est le plus fragile, le plus sensible aussi. Les yeux toujours aveuglés, à aucun moment elle ne peut découvrir à qui elle a affaire. Sans voir, les sensations de la belle prof, sont plus accentués, elle ressent tout plus fort, plus douloureusement. Avec toujours en sourdine, cette voix qui lui dit que c'est la faute de sa sœur.
À un moment, comme elle est parvenue à la longue, après avoir été bien tarabustée, à faire un peu glissé son bandeau, on le lui remit en place. Pour lui apprendre à ne plus prendre ce genre d'initiative, on lui claque les lèvres avec violence. L'une d'elles, déjà enflée, éclate. Elle a le goût du sang, en plus du sperme, dans la bouche. Une voix s'élève alors, vraisemblablement celle du chef du commando.
- Pas au visage! Les ordres du boss sont ...
... de ne pas abîmer la tête! Le client se moque des marques de bleus, de fouet, de griffures, de morsures, mais il tient à ce que le visage reste séduisant et intacte! Tâche de t'en souvenir, fait en sorte que je n'ai pas à le répéter, tu n'aimerais pas ça!
Il fut obéit, nul ne porte plus la main sur son visage. Ils se rattrapent par contre, avec luxure, sur tous les endroits de son corps où il est permis de lui faire mal.
Moi :
Je deviens folle, cela fait maintenant dix jours que je suis réveillée, sans que l'on me détache une seule fois du lit. Je suis obligée de regarder cette suite de films de viols à la télé. Enfin, viol est un petit mot. Tant les tortures, les coups pleuvent sur ces pauvres femmes. Pour chaque fille, c'est le même topo. Résistante au début, hurlante pendant, brisée et obéissante ensuite. Les vidéos sont condensées, cela dure en réalité au minimum plusieurs jours, parfois plusieurs semaines, rarement plusieurs mois. Mais à chaque fois le même résultat, à la fin elles sont des putes obéissantes. Un dressage en force de femelles humaines, voilà ce que sont ces films. Comme je l'ai vécu moi-même.
Le docteur m'a prévenu, Géraldine, l'infirmière est chargée de me surveiller. À chaque fois que je détourne trop les yeux, elle doit le compter, j'aurais une punition pour chacun de mes regards trop détournés. Inutile de vous dire que j'ai obéis, j'ai trop été punis pour ne pas en avoir d'autres pour un motif non douloureux pour moi.
Les viols anaux, ...