Les malheurs de Clotilde Ch. 17
Datte: 29/12/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... vaginaux, buccaux de Géraldine entrecoupent la journée. Souvent l'américain, mais aussi d'autre docteurs ou infirmiers. Environs une dizaine par jour. La magnifique rousse les subis en faisant semblant de jouir, en souriant, en remerciant. Ne pleurant qu'une fois qu'ils sont partis. Je ne tente plus de lui parler, j'ai compris le risque de punition si ils nous entendent à travers les micro, ou nous voient par les caméras.
Sans parler des nombreux coïts que Géraldine subit chaque jour. Moi je suis épargnée, jusque à présent je n'ai eus qu'à sucer trois fois l'américain, une fois un infirmier, et deux fois un autre docteur. Comparée à l'infirmière ou aux filles des vidéos, c'est peanuts. Sans parler de ce que j'ai déjà vécu...
C'est Géraldine qui me nourrit, une bouillie infâme qu'elle me donne à la cuillère. Je dois faire mes besoins dans un haricot. Elle me nettoie après la grosse commission. Par contre pour l'urine, mon urine, je dois la boire. Comme celle de Géraldine. Je ne me rebelle pas. Je me mens sur la raison, je me dis que c'est pour les berner, pour pouvoir m'évader à la moindre occasion quand je serais sortis. Mais la vérité, c'est que Greg m'a brisée. J'accepterais toutes les humiliations, tous les viols qu'ils voudront effectuer sur moi. Comme Géraldine. Tout pour ne pas être punit comme les filles sur la vidéo. Ou comme moi auparavant, je suis prête à tout pour ne pas revivre l'enfer que j'ai vécu...
Ninon :
Toute la nuit elle est foutue, enculée, ...
... doit sucer. Ninon doit prendre toutes les positions qui leurs sont agréables. Tandis que l'un est sur elle, les trois autres, boivent et mangent pour réparer leurs forces. C'est surtout psychologique, ils n'en ont pas vraiment besoin, ils ont pris ces nouvelles pilules pour bander toute la nuit...
Ils fument et boivent de l'alcool tandis qu'elle se fait violer le cul, la chatte ou la bouche. Ninon peut sentir le parfum de la fumée, entendre tinter les verres tandis qu'ils trinquent et qu'elle trinque aussi, mais différemment. Parfois ils donnent des conseils à celui qui l'enfile violemment, ou ils apprécient ses splendide avantages femelles en employant des mots grossiers, sans doute afin de mieux l'avilir.
Ainsi elle est baisée, violée, profanée dans les trente-deux positions classique, ou presque, car ils en inventent d'autres. Puis la douleur s'aggravent, ses cris augmentent en volume, puis au bout d'un très long moment, ses cris, qu'elle ne pousse plus, trop épuisée pour cela reprennent, quand ils décident de lui faire connaître les joies du viol à deux. Celui qui en a l'idée est félicitée. À partir de là, il arrive souvent qu'ils la prennent ensemble, ou même à trois, le troisième se servant de sa bouche. Ils aiment se renvoyer son corps nu, torturé, comme un hochet, faisant le pari de décharger dans ses issues au même moment. Y arrivant d'ailleurs souvent.
La nuit se termine en apothéose. À cheval sur le premier, étendu sur le sol, sa queue enfoncée en son vagin, ...