1. Les Grandes Soeurs (01) : Thaïlande


    Datte: 27/12/2024, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byAPVapv, Source: Literotica

    ... offrir un abri adéquat contre les éléments impitoyables qui menaçaient de tout emporter. Leurs vêtements usés racontaient l'histoire d'une existence où la simplicité et la survie sont les maîtres-mots, tandis que les repas frugaux, composés de maigres portions de riz et de légumes, incarnaient la lutte quotidienne pour apaiser les estomacs affamés. Malgré les épreuves, une lueur d'espoir persistait dans leurs yeux fatigués, une détermination farouche à briser les chaînes de la misère et à construire un avenir meilleur.
    
    Mme de Fontanel entra dans un petit patio, dissimulé derrière de grandes haies de fleurs odorantes. La luxure était l'une de ses occupations principales. Souvent les jardiniers thaïlandais étaient enrôlés pour assouvir ses désirs sensuels. Ils ne se plaignaient guère. Premièrement l'emploi était très bien payé et deuxièmement leur patronne ne manquait pas de charmes exotiques à leurs yeux.
    
    Maï entra dans le patio aux portes coulissantes. La jeune masseuse découvrit sa patronne le torse nu. La lourde poitrine aux larges aréoles ballota lorsque Mme De Fontanel se pencha pour ôter son string. Elle se redressa et attacha sa longue chevelure blonde en chignon et s'installa sur la table de massage.
    
    La quadragénaire observa sa domestique laver ses mains et prendre ses huiles. Elle remarquait la taille fine de la jeune bangcokoise dont l'habit traditionnel soulignait la minceur. Fidèle à ses vices, la femme du consul avait soumis la jeune Maï à sa luxure. La ...
    ... pauvre n'avait pas vraiment pu se rebeller. Sa patronne avait guidé ses mains sur son sexe aux poils blonds et lui avait montré comment la faire jouir. Depuis un mois, la masseuse terminait son office par de lascives caresses.
    
    La jeune thaïlandaise priait pour qu'elle ne fût pas obligée un jour de se dévêtir et que sa patronne ne la toucha. Elle avait surpris un jardinier se faisant sucer et la morale que lui avait inculqué ses parents, ne s'accommodait guère de cet étalage de perversités. Ses mains, enduites d'huile se posèrent sur la peau halée de sa patronne et elle commença un savant massage.
    
    Mme de Fontanel pensait que tous les thaïlandais n'avaient guère d'inhibitions quant au sexe et ne s'étonnait pas que ses employés se soumettent si facilement à ses désirs. Maï massait déjà la blonde depuis une demi-heure, quand, cette dernière se retourna et regarda la jeune asiatique d'un air entendu. Les mains qui massaient les épaules descendirent imperceptiblement vers les seins massifs et commencèrent à les pétrir jouant tantôt avec les tétons très durs tantôt avec la masse graisseuse que la thaïlandaise ne pouvait s'empêcher d'admirer malgré elle.
    
    L'européenne ferma les yeux lorsqu'elle sentit les mains descendre sur son ventre. Il était indéniable que Maï maitrisait son sujet ; ce qui renforçait les conceptions colonialistes de Madame la Consul sur le penchant à la sexualité des thaïlandais. Les doigts jouaient avec les lèvres déjà gonflées et un index se fraya un ...
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