COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (2/4)
Datte: 22/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... semaine à sœur Marie-Madeleine faisant sous elle.
Je m’applique à faire comme la première fois, Josette me mordait le sein, je lui mords le clito la faisant tomber en pâmoison, heureusement que nous sommes éloignés du corps de bâtiment, ce serait à leur tour de réveiller tout le monde.
Nous nous relevons et sans remettre nos vêtements que nous prenons sous notre bras, nous regagnons nos cellules, si je m’attendais à ce qui va m’arriver, je serais restée près de la mare.
• Alors petite dévergondée, d’où viens-tu, je parie que c’est Marie et Josette qui t’ont emmené pour te dévergonder, j’ai fait un cauchemar, je me suis réveillée en eau, je voulais que tu me passes une serviette sur le corps.
Je t’ai appelé, tu m’as obligé à me lever alors que mon dos me faisait mal à cause de toi, après tes turpitudes, je suis obligée de me punir pour éviter de le dire au curé.
Je vois que tu es nue, on va gagner du temps, allonge-toi sur le ventre, tes fesses bien dégagées, je vais chercher ce qu’il me faut pour te punir à mon tour, je ferais gagner du temps pour ta confession.
Pas le chat à sept queues, pas les billes de buis, je tourne la tête pour éviter de voir, comment elle veut me corriger.
• Celle-ci fera l’affaire, fine et souple, il va t’en cuire.
Pour m’en cuire, il m’en cuit, le premier coup me fait hurler et à partir de ce moment chaque coup qu’elle me porte entaille mes fesses, mais au fure et à mesure, je flotte dans une douce torpeur, il se peut que ...
... j’aie tourné de l’œil.
Ce qu’il y a de sur, c’est que la chatte coule mouillant abondamment mes draps, demain matin, il faudra que je demande aux deux garces que je vois planquer derrière la porte de ma cellule qu’elles ont entrouverte, me les changent comme ceux de la sœur incontinente.
J’arrête de compter à trente, alors que je suis sûr qu’il y en a quelques-uns de plus, comment vais-je faire pour m’asseoir demain ?
Tout ce qu’il y a de sur, c’est que la cloche va sonner sans que j’aie pu dormir, la moindre minute, mon fondement me faisant énormément souffrir.
Dans sa chambre qu’elle a rejointe, j’entends sœur Marie des Anges, scier du bois.
Comme mon père le faisait quand j’étais petite à mille lieues de penser que je finirais ici au milieu d’un tas de gougnottes.
J’ai dû finir par m’endormir, mais une fois vêtue, les mains jointes, nous prenons le chemin de l’église, sur la tête, je n’ai que la coiffe couvrant nos cheveux, je prendrais le voile dans quelques années, deux minimums quand la mère supérieure sera sûre de mon amour pour le très haut, devenant mon mari.
En marchant le tissu qui frotte mes fesses, me procure un mal à la limite de la jouissance, tu es malade Aurore, ne vas pas prendre goût à la flagellation où tout autre forme de punition.
Les prières et les chants qu’il me faut apprendre terminés, nous prenons le chemin du réfectoire où une tranche de pain et un verre de lait nous attendent.
La mère supérieure prend la parole avant de ...