COLLECTION LESBIENNES. La mère supérieure du couvent (2/4)
Datte: 22/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
C’était ma première journée au couvent où mes parents m’ont conduite ne pouvant assumer deux dots pour leurs deux filles, Anabelle ma sœur va avoir le privilège de trouver un mari avec la dot que mes parents vont lui allouer.
À mon avis, je découvre le noir dessein qu’ils ont pour moi, un couvent près de Nantes ou tous les ans, ils déposeront une somme d’argent pour que je sois reconnu dans mon nouveau lieu de villégiature.
Dès mon arrivée, les sœurs me mettent à poil avant de m’habiller en novice, leurs mains sur mon corps ayant tendance à m’émoustiller.
C’était une toute petite étape, car le soir, je me trouve rattacher au service de la mère supérieure, Marie des Anges qui en réalité s’appelle Séraphine, ça ne s’invente pas, elle tient que, lorsque nous sommes ensemble à ce que je l’appelle ainsi.
Quand elle me demande que je l’aide à la dénuder, je remarque que son dos est déchiré, elle se flagelle pour expier ses pêchers et ainsi éviter de se confesser auprès du vieux curé affecté à notre couvent.
Je me demande ce que je vais faire quand je le rencontrerai, les jeux que Séraphine m’apprend, étant très difficile à lui confesser.
Je dormais, quand du bruit dans la pièce de la supérieure me réveille, je viens discrètement regarder ce qu’elle fait, elle s’inflige une séance de flagellation avec un drôle de martinet ayant plusieurs lanières terminées par de petites boules en bois.
C’est à ce moment que la porte s’ouvre et que je sens une main sur mes ...
... seins et l’autre sur ma bouche.
Heureusement que cette deuxième main vient sur la bouche, j’aurai certainement hurlé, la personne qui est entrée parle dans un murmure.
• Regarde Josette, cette salope se caresse le dos, dit moi Aurore, que lui as-tu fait pour qu’elle se punisse.
En temps normal, elle trouvait un motif pour faire ses petits jeux pervers avec Josette une fois par semaine afin que son dos guérisse, là, il y a quatre jours, tu as dû sérieusement l’exciter.
Je comprends à la voix que sœur Marie et Josette qui viennent de me rejoindre pour voir notre supérieure se faire du mal pour expier en toute tranquillité nos turpitudes.
Elle finit par tomber d’épuisement à même son lit son martinet en main et semblant dormir.
• Venez les filles, elle va dormir jusqu’à ce que la cloche de six heures nous réveille, allons nous rafraîchir à la mare.
J’ignorais que ce couvent a une mare, je les suis toujours en chemise de nuit, la pleine lune nous permettant de nous déplacer facilement.
Les deux sœurs me tiennent chacune la main, je les suis pensant à l’impunité, je les ai crus quand elles me disent que Séraphine va dormir comme un bébé.
Au fond du couvent après le jardin aux légumes et aux fleurs avec lesquelles les sœurs décorent la chapelle où nous avons prié, elle est là sa surface brillant des reflets de la lune, des grenouilles coassent, elles me lâchent les mains et font passer leur chemise de nuit par-dessus la tête, gardant les coiffes cachant nos ...